Originaire de la péninsule des Balkans, le prunier myrobolan appelé aussi prunier-cerise est un arbuste fruitier de 5 à 8 m de hauteur. C’est une plante rustique caractérisée par de longs rameaux fins souvent épineux dans la partie inférieure. Les vieux rameaux se colorent en noir tandis que les jeunes sont plutôt rougeâtres et très fins. Ses feuilles tombent en automne et apparaissent après la floraison. Généralement, la taille de ces feuilles est comprise entre 2 à 7 cm de long et elles sont de forme ellipsoïde avec des bordures en forme de dents. Elles ont une position alterne et sont caractérisées par la présence d’un limbe assez lisse. En automne, leur couleur passe du vert au jaune intense en passant par le rouge. La période de floraison se produit dès la fin de l’hiver jusqu’au printemps. C’est le moment où apparaissent alors sur les rameaux, des fleurs hermaphrodites de 2 cm de diamètre, composées de 5 pétales roses blanchâtres. Elles peuvent être isolées ou groupées par 2 ou par 3. Ces dernières vont par la suite donner des fruits du nom de prunes-cerises. Ces fruits sont colorés en vert brillant mais ils peuvent changer en jaune ou rouge lorsqu’ils sont mûrs. Il y a aussi une courte queue accrochée au fruit. Les prunes-cerises sont comestibles. En effet, elles sont très juteuses même si elles ont un goût peu acidulé. Il est conseillé de les consommer lorsqu’elles arrivent à maturité durant le mois de juillet.
La plantation peut être effectuée à partir du mois d’octobre jusqu’en mars qui est la période de repos des végétations. Le prunier myrobolan peut être planté seul dans les parcs et les jardins ou bien cultivé avec d’autres plantes dans des haies champêtres. La plante aime l’humidité et préfère du sol aride et calcaire bien drainé et meuble. Toutefois, une meilleure fructification peut être obtenue lorsqu’elle est exposée dans un endroit ensoleillé. Creusez des trous d’au moins 50 cm de large et aussi profond que possible en prenant en compte la taille du conteneur ou de la racine pour les cas de culture en racines nues. Gardez une distance d’au moins 50 cm entre les trous. Ensuite, labourez le sol en y ajoutant un peu de sol calcaire, du terreau et du sable. Assurez-vous de bien homogénéiser tous les ingrédients et versez-en une petite quantité dans le trou. Placez un tuteur dans un coin de vos trous pour supporter les jeunes rameaux émergents. Plantez-y ensuite vos plants de prunier myrobolan et recouvrez bien la partie racinaire jusqu’au collet. Si vous effectuez une plantation à racines nues, il faut d’abord couper les extrémités racinaires avant. Vérifiez que la base du tronc est parallèle à la surface du trou et n’a pas du tout été enterrée. Tassez bien le sol au fur et à mesure afin de ne pas laisser des poches d’air. Attachez ensuite la tige avec le tuteur. Formez une sorte de cuvette à la surface puis arrosez abondamment avec de l’eau.
Le prunier myrobolan peut se multiplier par la semence ou par greffage durant le mois de mars. Le greffage est le moyen le plus sûr d’obtenir l’espèce de prunes bien définie car il s’avère que la multiplication par les graines donne souvent des plants qui ne sont pas identiques à la plante-mère. Les porte-greffes les plus populaires sont la cerisette, les pêchers, les abricotiers et quelques fois les amandiers. Généralement, il faut pratiquer la greffe en fente ou en écusson durant le mois de juillet. Les greffons doivent être jeunes et bien aérés. De plus, ils doivent être prélevés à partir d’un plant sain et fertile de moins de 2 ans. Le greffage en écusson consiste à prendre un œil bien développé avec un morceau de pétiole sur le rameau du greffon puis à le placer dans une entaille en forme de T, pratiquée préalablement sur le porte greffe. Après l’opération, ligaturez bien la greffe à l’aide de raphias ou d’attaches en caoutchouc. Il faut veillez à ce que l’œil et le pétiole soient bien visibles. En effet, cet aspect peut servir de témoin de réussite du greffage lorsqu’ils tombent. Cette variété de prunier ne demande pas de soins particuliers. Il faut juste le tailler de temps en temps pour enlever les vieilles branches ou lui donner des formes ainsi souhaitées. Vous n’auriez pas à apporter d’amendement sauf dans les cas extrêmes de sol de culture très pauvre.
La culture du prunier myrobolan
La plantation peut être effectuée à partir du mois d’octobre jusqu’en mars qui est la période de repos des végétations. Le prunier myrobolan peut être planté seul dans les parcs et les jardins ou bien cultivé avec d’autres plantes dans des haies champêtres. La plante aime l’humidité et préfère du sol aride et calcaire bien drainé et meuble. Toutefois, une meilleure fructification peut être obtenue lorsqu’elle est exposée dans un endroit ensoleillé. Creusez des trous d’au moins 50 cm de large et aussi profond que possible en prenant en compte la taille du conteneur ou de la racine pour les cas de culture en racines nues. Gardez une distance d’au moins 50 cm entre les trous. Ensuite, labourez le sol en y ajoutant un peu de sol calcaire, du terreau et du sable. Assurez-vous de bien homogénéiser tous les ingrédients et versez-en une petite quantité dans le trou. Placez un tuteur dans un coin de vos trous pour supporter les jeunes rameaux émergents. Plantez-y ensuite vos plants de prunier myrobolan et recouvrez bien la partie racinaire jusqu’au collet. Si vous effectuez une plantation à racines nues, il faut d’abord couper les extrémités racinaires avant. Vérifiez que la base du tronc est parallèle à la surface du trou et n’a pas du tout été enterrée. Tassez bien le sol au fur et à mesure afin de ne pas laisser des poches d’air. Attachez ensuite la tige avec le tuteur. Formez une sorte de cuvette à la surface puis arrosez abondamment avec de l’eau.
La multiplication et l’entretien du prunier myrobolan
Le prunier myrobolan peut se multiplier par la semence ou par greffage durant le mois de mars. Le greffage est le moyen le plus sûr d’obtenir l’espèce de prunes bien définie car il s’avère que la multiplication par les graines donne souvent des plants qui ne sont pas identiques à la plante-mère. Les porte-greffes les plus populaires sont la cerisette, les pêchers, les abricotiers et quelques fois les amandiers. Généralement, il faut pratiquer la greffe en fente ou en écusson durant le mois de juillet. Les greffons doivent être jeunes et bien aérés. De plus, ils doivent être prélevés à partir d’un plant sain et fertile de moins de 2 ans. Le greffage en écusson consiste à prendre un œil bien développé avec un morceau de pétiole sur le rameau du greffon puis à le placer dans une entaille en forme de T, pratiquée préalablement sur le porte greffe. Après l’opération, ligaturez bien la greffe à l’aide de raphias ou d’attaches en caoutchouc. Il faut veillez à ce que l’œil et le pétiole soient bien visibles. En effet, cet aspect peut servir de témoin de réussite du greffage lorsqu’ils tombent. Cette variété de prunier ne demande pas de soins particuliers. Il faut juste le tailler de temps en temps pour enlever les vieilles branches ou lui donner des formes ainsi souhaitées. Vous n’auriez pas à apporter d’amendement sauf dans les cas extrêmes de sol de culture très pauvre.
Bonjour,
Le prunier myrobolan repousse t-il après une coupe rase ?
Merci de votre réponse