Le cornouiller blanc provient de divers pays situés en grande partie en Asie dont la Sibérie ou la Chine. Il comprend plusieurs variétés et entre dans la famille des cornacées. Son nom en botanique est cornus alba, et il porte diverses appellations suivant les pays. il peut être nommé Tatarian Dogwood ou encore Siberian Dogwood par les anglophones, tandis que les chinois le prénomment Hong Rui Mu. Ce petit arbuste se montre très intéressant pour décorer votre jardin dans la mesure où il demeure ornemental toute l’année.
Le cornouiller blanc se présente avec un port buissonnant, évasé et érigé. Il est considéré comme un petit arbuste puisque sa taille varie entre 1,5 et 3 mètres une fois à maturité. Il s’étale en moyenne sur une largeur d’environ 2 mètres. Le feuillage à caractère caduc est relativement touffu et dense. Ses couleurs varient du vert clair au vert foncé en passant par le vert moyen. Les feuilles sont assez élégantes avec une touche de blanc sur leur pourtour et parfois dans les nervures. Le revers est gris et l’ensemble tend vers l’orange rougeoyant quand vient l’automne. Elles sont de forme ovale à pointes et leurs nervures sont très prononcées. Elles sont disposées en opposé deux par deux sur les ramifications. Les tiges et rameaux sont fins avec une couleur allant de rouge à grenat selon les variantes, et leur texture est brillante. Lorsqu’il fleurit, le cornouiller blanc arbore une inflorescence blanche. Ces fleurs apparaissent au sommet de l’arbuste en dominant le feuillage. Les teintes des fleurs peuvent osciller entre le blanc et la crème, voire un peu jaune par endroits. Ce sont des corymbes plates, composées de fleurs de 5 pétales en étoile. Les pétales sont longs et effilés. Lorsque l’arbrisseau est dénudé en hiver, il laisse apparaître pour le plus grand plaisir des yeux ses rameaux rouges ou grenat.
Parmi les variétés les plus belles, on peut citer le cornouiller alba Elegantissima au nom scientifique argenteo marginata. Il montre un feuillage vert de gris associé à des rameaux de couleur bordeaux. L’inflorescence est quant à elle de couleur crème. La taille maximale de cet arbuste n’excède pas les 2 mètres. Il s’étale sur un diamètre d’environ 2,5 mètres. Pour profiter au maximum d’un cornouiller en hiver, la variété appelée Cornus alba Sibirica sera tout à fait indiquée. En effet, elle offre des rameaux à l’écorce de couleur rouge corail. Ses fleurs sont blanches et elles sont suivies d’une poussée de fruits aux teintes bleues. Le feuillage quant à lui est plutôt vert franc avec une face cachée bleutée. La variante Cornus alba Gouchaultii se reconnaitra quant à elle avec son feuillage légèrement marbré de taches jaunes qui devient ensuite rose durant l’automne. Ses ramifications affichent une teinte plutôt foncée avec du rouge bruni. Il existe en outre de multiples autres espèces et variétés du cornouiller blanc, mais celles qui ont été cités ici font partie des plus connues.
Le premier point à noter pour le cornouiller concerne sa rusticité, car il se montre particulièrement tolérant face au froid. Vous pourrez le voir vivre correctement même à 20 degrés sous zéro. De ce coté, vous n’aurez donc pas de crainte à avoir pour la région dans laquelle vous vivez. Les types de climats pouvant accepter la présence de cet arbrisseau sont les zones continentales, tempérées, océaniques et aussi méditerranéennes. Il lui faut en outre juste un sol de type ordinaire pour bien vivre. Le moyen d’optimiser sa croissance sera en revanche de le planter en milieu très humifère. La nature drainante du terrain est ensuite cruciale car cet arbuste ne supporte pas les eaux stagnantes. Cela n’empêche cependant pas ce cornouiller de préférer les terres humides ou fraiches. Il se plaira par ailleurs très bien dans un terrain sec. Son rejet pour l’eau qui ne circule pas justifie l’utilité de la présence de sable dans son milieu de culture. Pour un meilleur développement de son feuillage et éventuellement de ses fleurs, donnez-lui un espace à exposition semi ombragée et ensoleillée à la fois.
Pour planter votre cornouiller dans le jardin, il vous faudra effectuer une petite préparation indispensable pour mettre la terre en conditions. Commencez par vous procurer du matériel comme une pelle, des gants, un seau d’eau fraiche, un arrosoir et quelques éléments utiles pour la terre. Ces derniers sont par exemple du terreau ou de la tourbe, mais aussi du sable (si votre jardin en manque cruellement), et enfin de l’engrais. Ne prenez jamais de fertilisants chimiques si c’est encore possible, tournez-vous toujours vers les matières organiques. Choisissez un endroit dégagé avec une surface minimale de deux mètres de diamètre. Faites en premier lieu un trou qui sera trois ou quatre fois plus grand que la motte du jeune plant de cornouiller que vous y mettrez. En général, cela correspondra à une excavation de cinquante centimètres en largeur comme en profondeur. Donnez quelques coups de bêche dans le fond pour décompacter la terre. Mettez un peu de compost sur ce fond en question. Avec la terre extraite, effectuez un mélange à base de tourbe ou de terreau, de sable et d’engrais. Employez environ un quart de chaque composant à titre de dosage avec un peu plus de terreau quand même.
Dans la mesure du possible, achetez la plante en motte chez le pépiniériste. Ce morceau de terre livré avec l’arbrisseau vous sera plus pratique par la suite. Etayez la motte en écartant délicatement les racines entremêlées. Trempez ensuite le tout dans le seau d’eau pour bien humecter les racines. Cette opération prendra une demi-heure tout au plus. Placez alors l’arbuste au milieu du trou et bien droit. Prenez le temps d’étendre les racines dans le fond de la cavité en les mélangeant bien au substrat fertilisant. Comblez soigneusement le trou et tassez les rebords avec le pied. Constituez une forme en cuvette pour canaliser l’eau vers les racines à l’arrosage. Procédez enfin à un arrosage bien fourni. Ce dernier devra être régulier pendant quelques semaines, avec une ou deux fois de manière hebdomadaire. Quand mars arrive, vous pourrez rabattre les branches les plus vieilles situées à la base. Cela engendrera l’apparition de rameaux plus vifs et colorés.
Aspect général du cornouiller blanc
Le cornouiller blanc se présente avec un port buissonnant, évasé et érigé. Il est considéré comme un petit arbuste puisque sa taille varie entre 1,5 et 3 mètres une fois à maturité. Il s’étale en moyenne sur une largeur d’environ 2 mètres. Le feuillage à caractère caduc est relativement touffu et dense. Ses couleurs varient du vert clair au vert foncé en passant par le vert moyen. Les feuilles sont assez élégantes avec une touche de blanc sur leur pourtour et parfois dans les nervures. Le revers est gris et l’ensemble tend vers l’orange rougeoyant quand vient l’automne. Elles sont de forme ovale à pointes et leurs nervures sont très prononcées. Elles sont disposées en opposé deux par deux sur les ramifications. Les tiges et rameaux sont fins avec une couleur allant de rouge à grenat selon les variantes, et leur texture est brillante. Lorsqu’il fleurit, le cornouiller blanc arbore une inflorescence blanche. Ces fleurs apparaissent au sommet de l’arbuste en dominant le feuillage. Les teintes des fleurs peuvent osciller entre le blanc et la crème, voire un peu jaune par endroits. Ce sont des corymbes plates, composées de fleurs de 5 pétales en étoile. Les pétales sont longs et effilés. Lorsque l’arbrisseau est dénudé en hiver, il laisse apparaître pour le plus grand plaisir des yeux ses rameaux rouges ou grenat.
Les diverses variantes et cultivars du cornouiller blanc
Parmi les variétés les plus belles, on peut citer le cornouiller alba Elegantissima au nom scientifique argenteo marginata. Il montre un feuillage vert de gris associé à des rameaux de couleur bordeaux. L’inflorescence est quant à elle de couleur crème. La taille maximale de cet arbuste n’excède pas les 2 mètres. Il s’étale sur un diamètre d’environ 2,5 mètres. Pour profiter au maximum d’un cornouiller en hiver, la variété appelée Cornus alba Sibirica sera tout à fait indiquée. En effet, elle offre des rameaux à l’écorce de couleur rouge corail. Ses fleurs sont blanches et elles sont suivies d’une poussée de fruits aux teintes bleues. Le feuillage quant à lui est plutôt vert franc avec une face cachée bleutée. La variante Cornus alba Gouchaultii se reconnaitra quant à elle avec son feuillage légèrement marbré de taches jaunes qui devient ensuite rose durant l’automne. Ses ramifications affichent une teinte plutôt foncée avec du rouge bruni. Il existe en outre de multiples autres espèces et variétés du cornouiller blanc, mais celles qui ont été cités ici font partie des plus connues.
L’environnement idéal pour le cornouiller blanc
Le premier point à noter pour le cornouiller concerne sa rusticité, car il se montre particulièrement tolérant face au froid. Vous pourrez le voir vivre correctement même à 20 degrés sous zéro. De ce coté, vous n’aurez donc pas de crainte à avoir pour la région dans laquelle vous vivez. Les types de climats pouvant accepter la présence de cet arbrisseau sont les zones continentales, tempérées, océaniques et aussi méditerranéennes. Il lui faut en outre juste un sol de type ordinaire pour bien vivre. Le moyen d’optimiser sa croissance sera en revanche de le planter en milieu très humifère. La nature drainante du terrain est ensuite cruciale car cet arbuste ne supporte pas les eaux stagnantes. Cela n’empêche cependant pas ce cornouiller de préférer les terres humides ou fraiches. Il se plaira par ailleurs très bien dans un terrain sec. Son rejet pour l’eau qui ne circule pas justifie l’utilité de la présence de sable dans son milieu de culture. Pour un meilleur développement de son feuillage et éventuellement de ses fleurs, donnez-lui un espace à exposition semi ombragée et ensoleillée à la fois.
Le mode de préparation du terrain
Pour planter votre cornouiller dans le jardin, il vous faudra effectuer une petite préparation indispensable pour mettre la terre en conditions. Commencez par vous procurer du matériel comme une pelle, des gants, un seau d’eau fraiche, un arrosoir et quelques éléments utiles pour la terre. Ces derniers sont par exemple du terreau ou de la tourbe, mais aussi du sable (si votre jardin en manque cruellement), et enfin de l’engrais. Ne prenez jamais de fertilisants chimiques si c’est encore possible, tournez-vous toujours vers les matières organiques. Choisissez un endroit dégagé avec une surface minimale de deux mètres de diamètre. Faites en premier lieu un trou qui sera trois ou quatre fois plus grand que la motte du jeune plant de cornouiller que vous y mettrez. En général, cela correspondra à une excavation de cinquante centimètres en largeur comme en profondeur. Donnez quelques coups de bêche dans le fond pour décompacter la terre. Mettez un peu de compost sur ce fond en question. Avec la terre extraite, effectuez un mélange à base de tourbe ou de terreau, de sable et d’engrais. Employez environ un quart de chaque composant à titre de dosage avec un peu plus de terreau quand même.
La motte de cornouiller et sa mise en terre
Dans la mesure du possible, achetez la plante en motte chez le pépiniériste. Ce morceau de terre livré avec l’arbrisseau vous sera plus pratique par la suite. Etayez la motte en écartant délicatement les racines entremêlées. Trempez ensuite le tout dans le seau d’eau pour bien humecter les racines. Cette opération prendra une demi-heure tout au plus. Placez alors l’arbuste au milieu du trou et bien droit. Prenez le temps d’étendre les racines dans le fond de la cavité en les mélangeant bien au substrat fertilisant. Comblez soigneusement le trou et tassez les rebords avec le pied. Constituez une forme en cuvette pour canaliser l’eau vers les racines à l’arrosage. Procédez enfin à un arrosage bien fourni. Ce dernier devra être régulier pendant quelques semaines, avec une ou deux fois de manière hebdomadaire. Quand mars arrive, vous pourrez rabattre les branches les plus vieilles situées à la base. Cela engendrera l’apparition de rameaux plus vifs et colorés.
