Il existe de multiples moyens d’agrémenter votre jardin de façon agréable. La culture d’arbustes peut avoir un effet plus que profitable avec une taille assez raisonnable à gérer. Parmi les plantes à tendance originale ou exotique, vous pourrez pencher pour un cornouiller dans sa variante Controversa Variegata, plus connue sous le nom de cornouiller des pagodes. Cet arbuste n’en est plus vraiment un mais plutôt un petit arbre puisque sa taille culmine tout de même à 8 mètres lorsqu’il arrive à l’age adulte. Ce trait de caractère dépendra cependant de la manière dont vous l’entretiendrez. Par ailleurs, il faut quand même que ce Cornus Controversa Variegata croisse pendant 25 années avant de se trouver à cette hauteur. Dans son biotope, il se surprendra à atteindre parfois les 20 mètres de haut. Typique de la Chine et du Japon, ce grand arbuste doit son appellation spécifique à son architecture si particulière qui ressemble beaucoup à une pagode. Sa famille botanique est celle des cornacées avec comme autre nom cornouiller discuté (Controversa). Une fois planté dans votre jardin, il se révèlera comme l’arbre le plus remarquable, surtout lors de sa floraison toute blanche qui se produit au mois de mai. Son emplacement favori serait en isolé entouré d’un parterre de gazon bien vert. L’idéal est de lui adjoindre des plantes de couleur vert foncé en arrière plan afin de mettre encore davantage en valeur sa silhouette et ses tons clairs.
Malgré sa croissance lente avant d’atteindre sa taille définitive, le cornouiller des pagodes montre déjà un physique plutôt avantageux. C’est un arbuste qui fait donc plus figure de petit arbre, avec un feuillage panaché aux couleurs blanches mêlées de vert tendre. Le port de l’arbre est érigé et étalé à la fois avec des branches placées en plusieurs étages à ramifications horizontales. C’est cette disposition qui donne ce style en pagode accentué par un feuillage omniprésent sur les branches et rameaux. Le tout comprend 4 à 6 étages en pyramide, rattachés à un tronc unique relativement fin, pour s’étaler sur une largeur d’environ 4 mètres à maturité. Les feuilles sont donc vertes mais avec des taches de blanc crème sur leurs rebords. Leur teinte vire au rouge quand survient l’automne. Elles possèdent des nervures assez prononcées pour une forme oblongue et ovale à la fois. Leur longueur ne dépasse pas une dizaine de centimètres et elles ont un caractère caduc. Il apparaît une inflorescence d’un blanc très pur sur toute la surface de l’arbre en mai. Ce sont des petits bouquets aplatis qui augmentent encore plus l’effet de pagode. La floraison laisse ensuite la place à des petits fruits de couleur noire bleutée vers août ou septembre. Ces fruits feront le bonheur des oiseaux. Les rameaux horizontaux portent une couleur rougeoyante qui sera très visible en hiver et toujours aussi décorative, après la chute des feuilles.
Ce grand arbuste sera à son aise dans des terrains riches et humifères pas trop secs et plutôt frais. Le sol doit par ailleurs se montrer bien drainant car la stagnation d’eau ne lui fera pas de bien. Un bon taux d’humidité dans l’air ambiant peut lui être également bénéfique. Pour ce qui est du pH, préférez une terre un peu acide ou neutre, mais surtout pas calcaire. Un doux soleil lui conviendra avec notamment un peu d’ombre pour les régions plus chaudes. Evitez absolument de l’exposer aux grosses chaleurs estivales car il verrait son feuillage brûler par endroits. La sécheresse n’est pas spécialement profitable pour ce petit arbre. En revanche, les basses températures ne lui font pas peur grâce à son caractère assez rustique. Il peut effectivement très bien supporter de vivre des hivers à -25 degrés. Une exposition aux vents n’est pas très recommandée, qu’ils soient chauds ou froids. Les coups de vent chauds et secs sont les plus déconseillés pour ce cornouiller Controversa Variegata.
Donnez lui donc en premier lieu de l’espace, puisqu’il peut s’étendre jusqu’à 4 mètres de diamètre, même si c’est en hauteur. Pour la période, il pourra être planté pratiquement toute l’année, cependant le printemps et l’automne lui conviennent plus. Ne vous avisez en revanche jamais de planter cet arbuste durant une phase de gel. Faites alors un trou sur une profondeur d’environ 80 centimètres pour la même taille en largeur. Aidez vous de votre pelle pour décompacter ensuite la terre dans le fond. Si vous trouvez que le terrain est vraiment trop alcalin, vous devrez vous procurer un film épais de polypropylène pour isoler le trou du reste de la terre. Il vous faudra en tapisser les parois jusqu’au plancher du fond. Une barrière anti rhizomes pour les bambous traçants pourra parfaitement faire l’affaire. Par la suite, vous ferez un mélange spécial de la terre de votre jardin avec d’autres composants en fonction de la nature originelle du terrain.
Si la terre de jardin extraite du trou est déjà naturellement conforme aux critères cités précédemment pour l’environnement du cornouiller, vous n’aurez pas à passer par cette étape. Armez vous alors juste de gants de jardinage et émiettez la terre pour la rendre encore plus drainante. Par ailleurs, ce sera l’occasion pour ôter tous les éléments inutiles, comme les cailloux, les morceaux de bois, de verre ou autre. Dans tous les cas, prenez toujours de la tourbe ou du terreau de type plantation pour le mélanger à la terre initiale. Rajoutez y aussi de l’engrais organique, et surtout pas chimique tant que c’est encore possible. Si le sol s’est avéré assez dur et peu drainant, mettez y un peu de perlite ou de billes d’argile. Le drain le plus simple sera toutefois le sable. Veillez à ce que tout le mélange soit parfaitement homogène au final. Laissez le tas sur le coté pour le remplissage du trou par la suite.
Essayez de vous procurer cette plante en jeune pousse emballée en motte chez un pépiniériste professionnel. Normalement la bonne taille d’origine sur ce conditionnement est de 20 à 30 centimètres pour la plante hormis la motte. La motte est un bout de terre compact qui contient les racines avec quelques composants favorisant une croissance rapide de la pousse. Dès que vous aurez retiré le plastique censé enfermer la motte, détachez en douceur les racines si elles sont un peu trop collées entre elles. Faites attention à ne pas trop perdre la terre de motte au passage. L’opération suivante consistera alors à faire un petit trempage des racines et de la motte dans une eau à température ambiante. C’est un procédé qui hydratera correctement les racines avant la reprise dans la mise en terre.
La culture se fera sans complications avec le placement de plant au milieu de la cavité. Tenez le bien droit pendant que vous étendrez ses racines sur le fond du trou. S’il vous en reste, disposez du fertilisant avec les racines en question. Remettez ensuite la terre et son mélange dans le trou en évitant de faire déborder le tout. Le pied devra au contraire s’entourer d’une terre en cuvette alentour pour la canalisation de l’eau à l’arrosage. Celui-ci doit être en grande quantité après que vous ayez tassé le sol soigneusement du pied. Renouvelez l’arrosage deux fois la semaine durant les premiers mois. Pour l’hiver, une disposition d’un paillis d’écorce broyée ou de feuilles mortes autour du tronc protègera du gel. En été ce même paillage éloignera les herbes indésirables et préservera l’humidité et la fraîcheur en profondeur. Il n’y a pas de taille spécialement recommandée, mais l’élagage des branches et rameaux morts en hiver est utile. Il permettra de faire repousser de nouveaux rameaux plus puissants et esthétiques.
Une présentation remarquable pour un arbuste
Malgré sa croissance lente avant d’atteindre sa taille définitive, le cornouiller des pagodes montre déjà un physique plutôt avantageux. C’est un arbuste qui fait donc plus figure de petit arbre, avec un feuillage panaché aux couleurs blanches mêlées de vert tendre. Le port de l’arbre est érigé et étalé à la fois avec des branches placées en plusieurs étages à ramifications horizontales. C’est cette disposition qui donne ce style en pagode accentué par un feuillage omniprésent sur les branches et rameaux. Le tout comprend 4 à 6 étages en pyramide, rattachés à un tronc unique relativement fin, pour s’étaler sur une largeur d’environ 4 mètres à maturité. Les feuilles sont donc vertes mais avec des taches de blanc crème sur leurs rebords. Leur teinte vire au rouge quand survient l’automne. Elles possèdent des nervures assez prononcées pour une forme oblongue et ovale à la fois. Leur longueur ne dépasse pas une dizaine de centimètres et elles ont un caractère caduc. Il apparaît une inflorescence d’un blanc très pur sur toute la surface de l’arbre en mai. Ce sont des petits bouquets aplatis qui augmentent encore plus l’effet de pagode. La floraison laisse ensuite la place à des petits fruits de couleur noire bleutée vers août ou septembre. Ces fruits feront le bonheur des oiseaux. Les rameaux horizontaux portent une couleur rougeoyante qui sera très visible en hiver et toujours aussi décorative, après la chute des feuilles.
Le milieu idéal pour le cornouiller des pagodes
Ce grand arbuste sera à son aise dans des terrains riches et humifères pas trop secs et plutôt frais. Le sol doit par ailleurs se montrer bien drainant car la stagnation d’eau ne lui fera pas de bien. Un bon taux d’humidité dans l’air ambiant peut lui être également bénéfique. Pour ce qui est du pH, préférez une terre un peu acide ou neutre, mais surtout pas calcaire. Un doux soleil lui conviendra avec notamment un peu d’ombre pour les régions plus chaudes. Evitez absolument de l’exposer aux grosses chaleurs estivales car il verrait son feuillage brûler par endroits. La sécheresse n’est pas spécialement profitable pour ce petit arbre. En revanche, les basses températures ne lui font pas peur grâce à son caractère assez rustique. Il peut effectivement très bien supporter de vivre des hivers à -25 degrés. Une exposition aux vents n’est pas très recommandée, qu’ils soient chauds ou froids. Les coups de vent chauds et secs sont les plus déconseillés pour ce cornouiller Controversa Variegata.
Les préparatifs du terrain pour le cornouiller des pagodes
Donnez lui donc en premier lieu de l’espace, puisqu’il peut s’étendre jusqu’à 4 mètres de diamètre, même si c’est en hauteur. Pour la période, il pourra être planté pratiquement toute l’année, cependant le printemps et l’automne lui conviennent plus. Ne vous avisez en revanche jamais de planter cet arbuste durant une phase de gel. Faites alors un trou sur une profondeur d’environ 80 centimètres pour la même taille en largeur. Aidez vous de votre pelle pour décompacter ensuite la terre dans le fond. Si vous trouvez que le terrain est vraiment trop alcalin, vous devrez vous procurer un film épais de polypropylène pour isoler le trou du reste de la terre. Il vous faudra en tapisser les parois jusqu’au plancher du fond. Une barrière anti rhizomes pour les bambous traçants pourra parfaitement faire l’affaire. Par la suite, vous ferez un mélange spécial de la terre de votre jardin avec d’autres composants en fonction de la nature originelle du terrain.
Le mélange de terre de jardin
Si la terre de jardin extraite du trou est déjà naturellement conforme aux critères cités précédemment pour l’environnement du cornouiller, vous n’aurez pas à passer par cette étape. Armez vous alors juste de gants de jardinage et émiettez la terre pour la rendre encore plus drainante. Par ailleurs, ce sera l’occasion pour ôter tous les éléments inutiles, comme les cailloux, les morceaux de bois, de verre ou autre. Dans tous les cas, prenez toujours de la tourbe ou du terreau de type plantation pour le mélanger à la terre initiale. Rajoutez y aussi de l’engrais organique, et surtout pas chimique tant que c’est encore possible. Si le sol s’est avéré assez dur et peu drainant, mettez y un peu de perlite ou de billes d’argile. Le drain le plus simple sera toutefois le sable. Veillez à ce que tout le mélange soit parfaitement homogène au final. Laissez le tas sur le coté pour le remplissage du trou par la suite.
Préparation du cornouiller en motte
Essayez de vous procurer cette plante en jeune pousse emballée en motte chez un pépiniériste professionnel. Normalement la bonne taille d’origine sur ce conditionnement est de 20 à 30 centimètres pour la plante hormis la motte. La motte est un bout de terre compact qui contient les racines avec quelques composants favorisant une croissance rapide de la pousse. Dès que vous aurez retiré le plastique censé enfermer la motte, détachez en douceur les racines si elles sont un peu trop collées entre elles. Faites attention à ne pas trop perdre la terre de motte au passage. L’opération suivante consistera alors à faire un petit trempage des racines et de la motte dans une eau à température ambiante. C’est un procédé qui hydratera correctement les racines avant la reprise dans la mise en terre.
La plantation proprement dite du cornouiller des pagodes
La culture se fera sans complications avec le placement de plant au milieu de la cavité. Tenez le bien droit pendant que vous étendrez ses racines sur le fond du trou. S’il vous en reste, disposez du fertilisant avec les racines en question. Remettez ensuite la terre et son mélange dans le trou en évitant de faire déborder le tout. Le pied devra au contraire s’entourer d’une terre en cuvette alentour pour la canalisation de l’eau à l’arrosage. Celui-ci doit être en grande quantité après que vous ayez tassé le sol soigneusement du pied. Renouvelez l’arrosage deux fois la semaine durant les premiers mois. Pour l’hiver, une disposition d’un paillis d’écorce broyée ou de feuilles mortes autour du tronc protègera du gel. En été ce même paillage éloignera les herbes indésirables et préservera l’humidité et la fraîcheur en profondeur. Il n’y a pas de taille spécialement recommandée, mais l’élagage des branches et rameaux morts en hiver est utile. Il permettra de faire repousser de nouveaux rameaux plus puissants et esthétiques.
