Pouvant se présenter à la verticale ou pendante, cette variété est reconnaissable par la tige qui est constituée de « pseudobulbes » servant d’organe de réserve pour la plante, et où se forme les fleurs. Comme bon nombre de son espèce, le dendrobium est « épiphyte », en d’autre terme utilise un autre végétal, un arbre généralement, comme support pour se développer. L’orchidée peut être petite ou d’une taille plus imposante allant jusqu’à 6 mètres, voire plus. Les feuilles de couleurs vertes offrent un beau contraste avec les fleurs allant du blanc au rouge, qui peuvent varier de taille, de nombre, ou de disposition. Cependant la floraison reste spectaculaire car les fleurs sont très belles à regarder, ce qui vaut de la réserver un intérêt particulier pour sa vertu ornementale.
Il peut supporter les différents aléas du climat. La plante développe ses pseudobulbes à la saison des pluies qui ont la qualité de stocker des réserves d’eau utile à la plante lors des saisons sèches. Mais chaque espèce peut avoir ses propres réactions au climat, car si certains peuvent avoir les feuilles résistant au climat sec alors, d’autres peuvent en être dénudées en contrepartie de belles fleurs.
Cette capacité d’adaptation de la plante est un excellent argument pour pouvoir le ramener chez soi, dans une serre ou dans un pot, à condition de suivre quelques conseils utiles pour assurer sa bonne croissance et sa pérennité, auxquelles on aspire.
La plante, comprenant plusieurs espèces, peuvent demander ses propres exigences. Mais toutefois, leur culture requiert, soit une serre chaude, comme le Gouldii, le Biggibum ou encore le Taurinum ; soit une serre tempérée et froide en automne, où la température nocturne ne doit dépasser 10°C pour pouvoir produire l’induction des boutons floraux, comme le Chrysanthum, le Thysiflorum ou le Densiflorum ; ou simplement une serre tempérée pour toute l’année, comme le Anosmum, Infudibulum, ou le Parishii. Quoi qu’il en soit un mouvement d’air raisonnable est requis pour le bon développement de la plante.
La lumière du soleil est plus qu’importante pour préserver votre plante, certaines espèces sont mêmes habituées à être exposé à plein soleil. Néanmoins pour éviter la déshydratation ou éventuelle brûlure du feuillage de la plante, il serait judicieux de l’ombrager quelque peu.
L’arrosage constitue la bouffée d’aliment cruciale pour tout végétal. Cependant, il ne serait pas à oublier que la plante, dans son milieu naturel , fait face à un grand climat sec et que les pseudobulbes évitent à celle ci de faner en répondant à leur rôle. Une humidité ambiante est à souligner à moins d’observer les pseudobulbes se rétrécir ; dans ce cas, il faut poursuivre une légère arrosage. Cependant les jeunes pousses en phase de végétation doivent être arrosés bien plus que les adultes. Et enfin beaucoup de lumière est toujours bénéfique.
Sans oublier, la fertilisation du sol est à pratiquer une fois par mois, sauf pour les dendrobium à feuilles persistantes qui requiert deux fois plus d’engrais.
L’orchidée étant épiphyte, une première possibilité serait la fixer sur des plaques de racines de fougère arborescente auxquelles elle pourra s’agripper et se développer pendant plusieurs années. La multiplication sera possible par prélèvement, une fois que les nouvelles pousses démarrent et que les nouvelles racines prennent jour. La mise en pot est aussi un choix d’excellent augure mais l’on conseillera les petits pots du fait de la dimension de la tige qui est assez mince et que la disposition des pseudobulbes entre elles est serrée. Une autre variante de multiplication est aussi possible par la mise en terre des « keikis » qui apparaissent à l’aisselle des feuilles d’orchidée.
La première recommandation pour un bon entretien de la plante serait de suivre les conseils préconsignés sur l’exposition solaire, la fertilisation, et l’arrosage, pour assurer la bonne santé de la plante et pour jouir d’une belle floraison. Cependant pour les plantes en pot, il serait utile de pratiquer le rempotage tous les deux ans pour assurer un sol à prospérité pérenne. Des supports à base d’écorce et d’argile et même du charbon de bois seront à préparer.
Le rempotage peut aussi contribuer à la multiplication car c’est à ce moment que la division des pousses peut être faite avec les pseudobulbes qui vont avec. Ce prélèvement ira orner d’autre pot.
Il peut supporter les différents aléas du climat. La plante développe ses pseudobulbes à la saison des pluies qui ont la qualité de stocker des réserves d’eau utile à la plante lors des saisons sèches. Mais chaque espèce peut avoir ses propres réactions au climat, car si certains peuvent avoir les feuilles résistant au climat sec alors, d’autres peuvent en être dénudées en contrepartie de belles fleurs.
Culture et entretien
Cette capacité d’adaptation de la plante est un excellent argument pour pouvoir le ramener chez soi, dans une serre ou dans un pot, à condition de suivre quelques conseils utiles pour assurer sa bonne croissance et sa pérennité, auxquelles on aspire.
La plante, comprenant plusieurs espèces, peuvent demander ses propres exigences. Mais toutefois, leur culture requiert, soit une serre chaude, comme le Gouldii, le Biggibum ou encore le Taurinum ; soit une serre tempérée et froide en automne, où la température nocturne ne doit dépasser 10°C pour pouvoir produire l’induction des boutons floraux, comme le Chrysanthum, le Thysiflorum ou le Densiflorum ; ou simplement une serre tempérée pour toute l’année, comme le Anosmum, Infudibulum, ou le Parishii. Quoi qu’il en soit un mouvement d’air raisonnable est requis pour le bon développement de la plante.
La lumière du soleil est plus qu’importante pour préserver votre plante, certaines espèces sont mêmes habituées à être exposé à plein soleil. Néanmoins pour éviter la déshydratation ou éventuelle brûlure du feuillage de la plante, il serait judicieux de l’ombrager quelque peu.
L’arrosage constitue la bouffée d’aliment cruciale pour tout végétal. Cependant, il ne serait pas à oublier que la plante, dans son milieu naturel , fait face à un grand climat sec et que les pseudobulbes évitent à celle ci de faner en répondant à leur rôle. Une humidité ambiante est à souligner à moins d’observer les pseudobulbes se rétrécir ; dans ce cas, il faut poursuivre une légère arrosage. Cependant les jeunes pousses en phase de végétation doivent être arrosés bien plus que les adultes. Et enfin beaucoup de lumière est toujours bénéfique.
Sans oublier, la fertilisation du sol est à pratiquer une fois par mois, sauf pour les dendrobium à feuilles persistantes qui requiert deux fois plus d’engrais.
Multiplication et entretien
L’orchidée étant épiphyte, une première possibilité serait la fixer sur des plaques de racines de fougère arborescente auxquelles elle pourra s’agripper et se développer pendant plusieurs années. La multiplication sera possible par prélèvement, une fois que les nouvelles pousses démarrent et que les nouvelles racines prennent jour. La mise en pot est aussi un choix d’excellent augure mais l’on conseillera les petits pots du fait de la dimension de la tige qui est assez mince et que la disposition des pseudobulbes entre elles est serrée. Une autre variante de multiplication est aussi possible par la mise en terre des « keikis » qui apparaissent à l’aisselle des feuilles d’orchidée.
La première recommandation pour un bon entretien de la plante serait de suivre les conseils préconsignés sur l’exposition solaire, la fertilisation, et l’arrosage, pour assurer la bonne santé de la plante et pour jouir d’une belle floraison. Cependant pour les plantes en pot, il serait utile de pratiquer le rempotage tous les deux ans pour assurer un sol à prospérité pérenne. Des supports à base d’écorce et d’argile et même du charbon de bois seront à préparer.
Le rempotage peut aussi contribuer à la multiplication car c’est à ce moment que la division des pousses peut être faite avec les pseudobulbes qui vont avec. Ce prélèvement ira orner d’autre pot.
