De la famille des Salicacées, le saule regroupe un genre d’arbustes, d’arbrisseaux et d’arbres de plus de 350 espèces réparties à travers les régions fraîches, tempérées et froides de l’hémisphère nord. Le saule pourpre en fait partie. Les saules sont reconnaissables par leur feuillage caduc de forme lancéolée ou ovale. Les feuilles sont disposées de façon alternée sur les branches. Les saules sont des arbres dioïques : les fleurs mâles et femelles se trouvent sur différents pieds. Chaque inflorescence est fixée sur un nectaire correspondant au périanthe.
La fleur mâle du saule est très petite et porte 2 à 5 étamines. La fleur femelle contient un seul ovaire constituée de deux carpelles. Lorsqu’elle est fécondée, elle forme des capsules présentant deux valves qui portent des graines cotonneuses. La pollinisation peut être favorisé par le vent, on parle alors de saule anémophile. Mais il peut également être entomophile et par conséquent favorisé par les insectes. La détermination de la pollinisation est donc difficile en raison du nombre d’espèces hybrides existants.
La plupart des espèces de saule sont couvertes d’une sorte de cire blanche en hiver. Cette cire agit comme une protection car elle est hrydrophobe. Elle empêche en conséquence l’eau de s’infiltrer dans l’arbre. D’un autre côté, la cire protège le saule de la déshydratation pendant tout l’hiver et complique la respiration. Pour y remédier, le saule présente déjà des lenticelles.
Le saule pourpre (salix purpurea), aussi connu sous le nom d’osier rouge et d’osier pourpre est un saule de petite taille, mesurant 2m à l’âge adulte. Dans des conditions très favorables à son développement, il atteint exceptionnellement les 6m de hauteur. Le saule pourpre est nommé ainsi à cause de la couleur de ses inflorescences qui sont la plupart du temps de couleur pourpre, apparaissant au début du printemps.
Le saule pourpre à l’instar de toutes les autres espèces est dioïque. Il se reconnait par son houppier touffu découpé en boule. Salix Purpurea représente à lui seul l’espèce française dont les bourgeons sont répartis de manières subopposée ou opposée. Le limbe des feuilles est légèrement dentelé, en forme d’ellipse avec le dose glauque. Les rameaux des feuilles sont opposées et de couleur pourpre.
Le saule pourpre a des besoins en eau accrus. Il est donc parfait pour une culture au bord d’un étang, d’un bassin ou d’une rivière. Il est conseillé de le planter à l’automne afin de faciliter l’enracinement avant l’arrivée des premières gelées et la reprise au printemps. Une fois installé, paillez le pied du saule pourpre pour lui assurer un maximum d’humidité.
Le rabattage sévère est recommandé en février-mars. Il faudra donc tailler toutes les branches. Cette technique de taille favorisera par ailleurs l’apparition de nouvelles tiges et renforcera l’arbre. Elle protègera également la plante de la plupart des maladies.
Il arrive fréquemment que les feuilles du saule pourpre prennent une couleur brune et se tachent avant de tomber. Les rameaux pour leur part virent également au brun-marron et s’assèchent. Ce genre de phénomène est dû à la tavelure qui est une maladie cryptogamique, causée par un champignon appelé « marssonina ». La tavelure est favorisée par un printemps humide. La solution consistera à ramasser les rameaux et les feuilles tombés au sol afin de limiter la propagation du champignon sur les autres saules. Il faut également pulvériser de la bouillie bordelaise pour protéger les arbres.
L’anthracnose est une autre maladie qui peut affaiblir le saule pourpre. Elle se manifeste par l’apparition de tâches noires sur les nervures des tiges de l’arbre.
La rouille et le chancre quant à eux sont des maladies fréquentes du saule pourpre. La rouille est reconnaissable par des tâches jaunes sur la face supérieure des feuilles. Le dos des feuilles présente des pustules de couleur brune. Si les branches se dessèchent et périssent c’est certainement le chancre.
La fleur mâle du saule est très petite et porte 2 à 5 étamines. La fleur femelle contient un seul ovaire constituée de deux carpelles. Lorsqu’elle est fécondée, elle forme des capsules présentant deux valves qui portent des graines cotonneuses. La pollinisation peut être favorisé par le vent, on parle alors de saule anémophile. Mais il peut également être entomophile et par conséquent favorisé par les insectes. La détermination de la pollinisation est donc difficile en raison du nombre d’espèces hybrides existants.
La plupart des espèces de saule sont couvertes d’une sorte de cire blanche en hiver. Cette cire agit comme une protection car elle est hrydrophobe. Elle empêche en conséquence l’eau de s’infiltrer dans l’arbre. D’un autre côté, la cire protège le saule de la déshydratation pendant tout l’hiver et complique la respiration. Pour y remédier, le saule présente déjà des lenticelles.
Caractéristiques spécifiques du saule pourpre
Le saule pourpre (salix purpurea), aussi connu sous le nom d’osier rouge et d’osier pourpre est un saule de petite taille, mesurant 2m à l’âge adulte. Dans des conditions très favorables à son développement, il atteint exceptionnellement les 6m de hauteur. Le saule pourpre est nommé ainsi à cause de la couleur de ses inflorescences qui sont la plupart du temps de couleur pourpre, apparaissant au début du printemps.
Le saule pourpre à l’instar de toutes les autres espèces est dioïque. Il se reconnait par son houppier touffu découpé en boule. Salix Purpurea représente à lui seul l’espèce française dont les bourgeons sont répartis de manières subopposée ou opposée. Le limbe des feuilles est légèrement dentelé, en forme d’ellipse avec le dose glauque. Les rameaux des feuilles sont opposées et de couleur pourpre.
Culture et entretien du saule pourpre
Le saule pourpre a des besoins en eau accrus. Il est donc parfait pour une culture au bord d’un étang, d’un bassin ou d’une rivière. Il est conseillé de le planter à l’automne afin de faciliter l’enracinement avant l’arrivée des premières gelées et la reprise au printemps. Une fois installé, paillez le pied du saule pourpre pour lui assurer un maximum d’humidité.
Le rabattage sévère est recommandé en février-mars. Il faudra donc tailler toutes les branches. Cette technique de taille favorisera par ailleurs l’apparition de nouvelles tiges et renforcera l’arbre. Elle protègera également la plante de la plupart des maladies.
Maladies et parasites du saule pourpre
Il arrive fréquemment que les feuilles du saule pourpre prennent une couleur brune et se tachent avant de tomber. Les rameaux pour leur part virent également au brun-marron et s’assèchent. Ce genre de phénomène est dû à la tavelure qui est une maladie cryptogamique, causée par un champignon appelé « marssonina ». La tavelure est favorisée par un printemps humide. La solution consistera à ramasser les rameaux et les feuilles tombés au sol afin de limiter la propagation du champignon sur les autres saules. Il faut également pulvériser de la bouillie bordelaise pour protéger les arbres.
L’anthracnose est une autre maladie qui peut affaiblir le saule pourpre. Elle se manifeste par l’apparition de tâches noires sur les nervures des tiges de l’arbre.
La rouille et le chancre quant à eux sont des maladies fréquentes du saule pourpre. La rouille est reconnaissable par des tâches jaunes sur la face supérieure des feuilles. Le dos des feuilles présente des pustules de couleur brune. Si les branches se dessèchent et périssent c’est certainement le chancre.
Bonjour à vous, je suis à la recherche pour mon jardin décoratif d'une variété de saule à tige rouge, dont les feuilles sont très vertes et non dentées.. Pourriez vous m'indiquer de quelle variété s'agit-il? on m'a parlé du saule pourpre, qu'en pensez vous?
on m'a parlé du saule coyote, le purpura
j'aimerai avoir un visu plus clair sur ces especes