L’arbre à papillon (ou arbre aux papillons) est aussi nommé le Buddleia. Cet arbuste ornemental provient de Chine et a été découvert en 1869 par le père David. C’est la raison de son autre appellation Buddleia Davidii. Leurs premières semences avaient touché l’Europe vers 1893 pour être utilisées enfin en France en 1895. Cet arbuste entre dans la famille des scrophulariacées mais aussi des loganiacées ou encore des buddléiacées. Il comprend plusieurs variantes parmi une centaine d’espèces. Parmi les espèces les plus connues on trouve le Royal Red (à fleurs rouges), Empire Blue (fleurs bleu foncé), Pink Delight (fleurs roses) et White Profusion (fleurs blanches). L’arbuste peut grandir jusqu’à atteindre dans les 5 mètres de haut. Sa particularité est d’offrir de belles fleurs très parfumées qui font le bonheur de la plupart des insectes butineurs tels que les abeilles, guêpes, bourdon. Le papillon est l’un des plus attirés par le buddleia avec notamment l’espèce Aglais Urticae ou petite tortue, ou aussi les paons de jour (Inachis Io) et enfin les vulcains (Vanessa Atalanta). Cette caractéristique fait de cet arbrisseau un mellifère à part entière. C’est surtout durant l’été que l’arbuste donne toute sa mesure avec sa floraison abondante et colorée. Les fleurs sont en forme de panicules qui oscillent donc entre le blanc, le bleu, le rouge ou le rose. Elles sont groupées en grappes par-dessus de longues branches. Les branches florifères peuvent être dressées ou parfois tombantes, mais l’effet visuel en général est toujours particulièrement agréable. Le buddleia constitue dans son ensemble un buisson très touffu, mais pas très fourni à sa base. Son feuillage est caduc, ce qui signifie qu’il tombe en automne et en hiver pour repousser ensuite à la saison suivante.
L’arbuste se plaira beaucoup dans un endroit bien ensoleillé pas trop ventilé. Le sol lui est indifférent même s’il est rocailleux ou sec. Un terrain léger, suffisamment drainé et pas trop riche sera parfait, en particulier sans trop d’apports fertilisants. Il est à noter qu’avec ce genre de plante, un excès d’engrais provoquera un feuillage envahissant plutôt que de belles fleurs. Les terrains secs ou calcaires ne sont pas un problème non plus. C’est en outre un arbuste très rustique, puisqu’il peut très bien supporter des températures de -20 degrés environ. Le taux d’humidité non plus ne le dérange pas spécialement. Il faut tenir compte ensuite de la taille de cet arbuste assez imposant. Son gabarit incite à le placer toujours un peu en retrait des autres plantes et massifs qu’il accompagne. La présence d’une base plutôt dégarnie rend par ailleurs plus intéressant le fait de mettre d’autres plantes décoratives devant lui en contrebas. A ce propos, il vaut mieux connaître les plantes qui peuvent côtoyer l’arbre à papillon car un mauvais choix peut avoir des conséquences dramatiques. En premier lieu, l’oranger du Mexique, les hibiscus, les santolines et enfin les lilas sont ses meilleurs alliés. Le voisinage de ces plantes lui sera non seulement favorable mais aussi très esthétique. Pour préparer un beau mariage de couleurs, vérifiez les teintes de ce que vous possédez déjà dans votre massif ou vos haies, puis voyez laquelle des couleurs d’arbre à papillon conviendra le plus. D’un autre coté, quelques arbustes et plantes sont fortement déconseillés à mettre en association avec le Buddleia. Il s’agit notamment des hellébores, des saules blancs, des astilbes et les hostas. Un dernier détail concerne la hauteur, il est judicieux de trouver un endroit où la plante pourra étaler ses quelques 5 mètres de haut sans problème.
Veillez tout d’abord à bien mettre en condition la plante avant tout. Pour commencer, ne pensez à l’acheter que lorsque vous êtes certain de la planter. Elle vous sera normalement livrée en jeune plant avec une motte. Le tout fera entre 15 et 30 centimètres selon l’espèce choisie. La motte sera probablement enfermée sous plastique tandis que la pousse sera à l’air libre. Dès que vous prenez le plant, débarrassez le en douceur de son enveloppe plastifiée, puis occupez vous de dégager délicatement les racines. Il se peut qu’elles se soient effectivement enchevêtrées entre elles pendant l’emballage par le pépiniériste. Cette opération est assez laborieuse car il faut les démêler tout en essayant de garder le plus de terre possible de la motte. Celle-ci contient en effet quelques minéraux et fertilisant favorables à la bonne croissance du jeune plant. Dès que la motte est prête, vous pourrez la tremper dans un petit seau rempli d’eau jusqu’à hauteur des racines uniquement. C’est une phase qui permet de réhydrater la plante par ses racines. Laisser agir l’eau durant trente minutes avant de ressortir l’arbuste.
Les conseils pour planter l’arbre à papillon sont pratiquement identiques pour toutes les espèces. Normalement, il est préférable de planter l’arbre à papillon en automne. Cependant, s’il est vendu en conteneur, vous pourrez le mettre en terre à n’importe quelle période. Il n’en reste pas moins que toute plantation en phase de gel est à exclure. Vous pourrez mettre l’arbuste en pot comme vous pourrez l’enterrer. L’avantage du pot touche surtout l’évitement d’un éventuel envahissement entre plantes. Par ailleurs, vous pourrez le déplacer à votre guise. Pour la mise en terre, préparez un trou d’une soixantaine de centimètres de profondeur, d’un diamètre de 50 centimètres. Si vous pensez à une haie, l’espace entre les trous sera de un mètre environ. Pour les massifs, un espacement de 1,50 à 3 mètres sera observé. Cet espacement dépend de la taille de la variété que vous comptez acquérir. Mettez la jeune pousse en étalant soigneusement ses racines au fond. Pensez à bien éparpiller la terre avant de combler le trou avec. En effet, vous trouverez peut être des déchets comme des bouts de bois ou de plastique, ou des cailloux. L’émiettement de cette terre sera profitable pour la plante. Si le sol semble retenir un peu trop l’humidité, mélangez un peu de sable à la terre. Tassez le tout et arrosez légèrement.
La plus grande directive d’entretien du Buddleia concerne sa taille. Il doit effectivement être taillé de novembre à mars avec un rabattage. Quelques yeux devront subsister à une vingtaine de centimètres du sol au niveau de la base. Une taille courte vers le mois de novembre rendra l’ensemble plus vigoureux. Pour rabattre, il vous faudra couper les tiges ou les branches afin de provoquer la pousse de ramifications encore plus solides. Cette démarche donnera ultérieurement des fleurs bien plus belles, et épargnera une trop grande expansion de l’arbuste. Au bout d’un an, le Buddleia appréciera aussi une taille des pousses correspondant à l’année d’avant. Le manque de taille sérieuse dégarnira l’arbuste à moyen terme. Cette perte d’allure commence souvent par les parties basses de cet arbuste. Au cours de la taille ou de l’entretien, vous pouvez en profiter pour récupérer les graines éparses au sol. Si vous souhaitez les replanter pour vos semis, elles tiendront parfaitement même après 5 ans, avant d’être replantées.
Il se multiplie de plusieurs façons différentes dont le semis, et le bouturage. L’application des semis prend place au printemps dès que le gel se fait rare avec au moins 10 degrés en externe. Le bouturage est intéressant pour cet arbuste en particulier lorsqu’il est fait vers fin août. Il s’agit là des boutures des semi ligneuses. Le replantage se fera alors dès l’automne. Suivant la période, le bouturage change, notamment avec les ligneuses pour octobre à janvier. Si vous vous situez en mai ou juin, préférez les boutures des herbacées. Elles sont à planter dans un mélange de terreau et de sable. Arrosez régulièrement pendant la première année suivant le replantage.
Un arbre à papillon est théoriquement peu sensible aux agressions naturelles, toutefois, quelques nuisibles peuvent lui faire de sérieux torts. Par exemple, la présence de pucerons, d’araignées rouges et éventuellement d’otiorhynques ne présage rien de bon. Une petite pulvérisation d’insecticide liquide approprié fera l’affaire. D’un autre coté, si vous ne l’entretenez pas trop, le risque d’attaque par l’oïdium existe. Il est à noter cependant, que c’est un risque faible pour l’arbre à papillon.
Le milieu propice pour l’arbre à papillon
L’arbuste se plaira beaucoup dans un endroit bien ensoleillé pas trop ventilé. Le sol lui est indifférent même s’il est rocailleux ou sec. Un terrain léger, suffisamment drainé et pas trop riche sera parfait, en particulier sans trop d’apports fertilisants. Il est à noter qu’avec ce genre de plante, un excès d’engrais provoquera un feuillage envahissant plutôt que de belles fleurs. Les terrains secs ou calcaires ne sont pas un problème non plus. C’est en outre un arbuste très rustique, puisqu’il peut très bien supporter des températures de -20 degrés environ. Le taux d’humidité non plus ne le dérange pas spécialement. Il faut tenir compte ensuite de la taille de cet arbuste assez imposant. Son gabarit incite à le placer toujours un peu en retrait des autres plantes et massifs qu’il accompagne. La présence d’une base plutôt dégarnie rend par ailleurs plus intéressant le fait de mettre d’autres plantes décoratives devant lui en contrebas. A ce propos, il vaut mieux connaître les plantes qui peuvent côtoyer l’arbre à papillon car un mauvais choix peut avoir des conséquences dramatiques. En premier lieu, l’oranger du Mexique, les hibiscus, les santolines et enfin les lilas sont ses meilleurs alliés. Le voisinage de ces plantes lui sera non seulement favorable mais aussi très esthétique. Pour préparer un beau mariage de couleurs, vérifiez les teintes de ce que vous possédez déjà dans votre massif ou vos haies, puis voyez laquelle des couleurs d’arbre à papillon conviendra le plus. D’un autre coté, quelques arbustes et plantes sont fortement déconseillés à mettre en association avec le Buddleia. Il s’agit notamment des hellébores, des saules blancs, des astilbes et les hostas. Un dernier détail concerne la hauteur, il est judicieux de trouver un endroit où la plante pourra étaler ses quelques 5 mètres de haut sans problème.
La préparation d’un arbre à papillon avant plantation
Veillez tout d’abord à bien mettre en condition la plante avant tout. Pour commencer, ne pensez à l’acheter que lorsque vous êtes certain de la planter. Elle vous sera normalement livrée en jeune plant avec une motte. Le tout fera entre 15 et 30 centimètres selon l’espèce choisie. La motte sera probablement enfermée sous plastique tandis que la pousse sera à l’air libre. Dès que vous prenez le plant, débarrassez le en douceur de son enveloppe plastifiée, puis occupez vous de dégager délicatement les racines. Il se peut qu’elles se soient effectivement enchevêtrées entre elles pendant l’emballage par le pépiniériste. Cette opération est assez laborieuse car il faut les démêler tout en essayant de garder le plus de terre possible de la motte. Celle-ci contient en effet quelques minéraux et fertilisant favorables à la bonne croissance du jeune plant. Dès que la motte est prête, vous pourrez la tremper dans un petit seau rempli d’eau jusqu’à hauteur des racines uniquement. C’est une phase qui permet de réhydrater la plante par ses racines. Laisser agir l’eau durant trente minutes avant de ressortir l’arbuste.
Planter l’arbre à papillon
Les conseils pour planter l’arbre à papillon sont pratiquement identiques pour toutes les espèces. Normalement, il est préférable de planter l’arbre à papillon en automne. Cependant, s’il est vendu en conteneur, vous pourrez le mettre en terre à n’importe quelle période. Il n’en reste pas moins que toute plantation en phase de gel est à exclure. Vous pourrez mettre l’arbuste en pot comme vous pourrez l’enterrer. L’avantage du pot touche surtout l’évitement d’un éventuel envahissement entre plantes. Par ailleurs, vous pourrez le déplacer à votre guise. Pour la mise en terre, préparez un trou d’une soixantaine de centimètres de profondeur, d’un diamètre de 50 centimètres. Si vous pensez à une haie, l’espace entre les trous sera de un mètre environ. Pour les massifs, un espacement de 1,50 à 3 mètres sera observé. Cet espacement dépend de la taille de la variété que vous comptez acquérir. Mettez la jeune pousse en étalant soigneusement ses racines au fond. Pensez à bien éparpiller la terre avant de combler le trou avec. En effet, vous trouverez peut être des déchets comme des bouts de bois ou de plastique, ou des cailloux. L’émiettement de cette terre sera profitable pour la plante. Si le sol semble retenir un peu trop l’humidité, mélangez un peu de sable à la terre. Tassez le tout et arrosez légèrement.
Entretenir l’arbre à papillon
La plus grande directive d’entretien du Buddleia concerne sa taille. Il doit effectivement être taillé de novembre à mars avec un rabattage. Quelques yeux devront subsister à une vingtaine de centimètres du sol au niveau de la base. Une taille courte vers le mois de novembre rendra l’ensemble plus vigoureux. Pour rabattre, il vous faudra couper les tiges ou les branches afin de provoquer la pousse de ramifications encore plus solides. Cette démarche donnera ultérieurement des fleurs bien plus belles, et épargnera une trop grande expansion de l’arbuste. Au bout d’un an, le Buddleia appréciera aussi une taille des pousses correspondant à l’année d’avant. Le manque de taille sérieuse dégarnira l’arbuste à moyen terme. Cette perte d’allure commence souvent par les parties basses de cet arbuste. Au cours de la taille ou de l’entretien, vous pouvez en profiter pour récupérer les graines éparses au sol. Si vous souhaitez les replanter pour vos semis, elles tiendront parfaitement même après 5 ans, avant d’être replantées.
Les options pour multiplier l’arbre à papillon
Il se multiplie de plusieurs façons différentes dont le semis, et le bouturage. L’application des semis prend place au printemps dès que le gel se fait rare avec au moins 10 degrés en externe. Le bouturage est intéressant pour cet arbuste en particulier lorsqu’il est fait vers fin août. Il s’agit là des boutures des semi ligneuses. Le replantage se fera alors dès l’automne. Suivant la période, le bouturage change, notamment avec les ligneuses pour octobre à janvier. Si vous vous situez en mai ou juin, préférez les boutures des herbacées. Elles sont à planter dans un mélange de terreau et de sable. Arrosez régulièrement pendant la première année suivant le replantage.
Les maladies et les parasites de l’arbre à papillon
Un arbre à papillon est théoriquement peu sensible aux agressions naturelles, toutefois, quelques nuisibles peuvent lui faire de sérieux torts. Par exemple, la présence de pucerons, d’araignées rouges et éventuellement d’otiorhynques ne présage rien de bon. Une petite pulvérisation d’insecticide liquide approprié fera l’affaire. D’un autre coté, si vous ne l’entretenez pas trop, le risque d’attaque par l’oïdium existe. Il est à noter cependant, que c’est un risque faible pour l’arbre à papillon.
boujou jai un arbre a papillon on la tailler et on sapercoi que depuis que le jeune rameau repouse on sapecoi que les jeune feuille seche et devienne maron que faut ills fair meci de repondre svp
mon arbre à papillon fait des feuilles est très vite elles sèchent et meurt, que dois-je faire
Bjr
Après avoir fait plusieurs tentatives mon budleia végète et ne se développe pas.
Quelle surprise cette année, un budleia sauvage c est installé dans la descente de sous sol (plein sud) il a pris 2 metres dans l année . J aimerais le déplacer.
Quelle précaution dois je prendre ?
Cordialement
Pascal