Le pin parasol est un conifère de la famille des Pinacées, compris dans le genre Pinus qui regroupe à ce genre plus d’une centaine d’espèces. Le pinus est reconnaissable par ses aiguilles présentées en faisceau. C’est également un arbre, une essence monoïque où les fleurs mâles et femelles se trouvent sur le même pied. Le pin parasol ou pinus pinea se reconnait par son port majestueux et en forme de parasol comme son nom l’indique. Empreint d’exotisme et d’esprit méditerranéen, le pin parasol possède une écorce de couleur brun rougeâtre qui se divise à mi-hauteur de sa taille. Il est surtout cultivé dans les grands espaces. En effet, à l’âge adulte le pin parasol frôle les 20m de hauteur. Les fruits du pin parasol sont des pignons, utilisés en cuisine notamment en pâtisserie. Ces fruits n’arrivent toutefois à maturité qu’après 3 ans.
La période favorable à la plantation du pin parasol est en automne. Cependant, vous pouvez aussi le mettre en terre du mois de mars au mois d’avril, en veillant à ne pas opérer lors des jours de gel. Le pin parasol affectionne les terres sèches et craint l’humidité du sol. Il requiert donc un milieu bien drainé. Vous pouvez dans ce cas le planter dans un mélange de sable et de terre pour favoriser le drainage.
Après la plantation, paillez le pied de votre pin parasol pour empêcher que les mauvaises herbes viennent envahir la surface aux alentours. S’il est vrai que les pins parasols sont rustiques jusqu’à -10°C, il est conseillé de protéger les jeunes sujets qui craignent le gel. Dans les deux cas, disposez une couche d’écorces de pin maritime en guise de paillage au niveau du pied de votre pin parasol. Les écorces de pin maritime sont parfaitement adaptées mais vous pouvez à défaut utiliser un autre matériau.
Vous pouvez reproduire votre pin parasol grâce à plusieurs techniques de multiplication : le semis de graines, le bouturage, le marcottage et greffage. Si vous voulez semer, vous devez préalablement stratifier les graines récoltées sur les cônes de votre pin parasol. La stratification permet en effet d’accélérer l’étape de la germination. Chez les conifères, les graines peuvent passer 2 mois à germer. Semez ensuite les graines sur un sillon de 3cm de profondeur. Puis, arrosez copieusement pour humidifier le sol.
Le bouturage est une autre technique de multiplication du pin parasol mais rarement utilisée en raison de la lenteur de l’enracinement. Faites le bouturage à la fin de l’hiver. Pour ce faire, sélectionnez des boutures saines sur un rameau préférablement âgé de 2 ans. Avant de les mettre en terre, plongez l’extrémité de la bouture dans de l’hormone d’enracinement.
Si vous voulez procéder par marcottage, choisissez une branche souple assez proche du sol. Il faut que sa longueur lui permette de se plier jusqu’au sol. Ainsi, dépecez la partie de la branche qui sera enterrée. Lorsque l’écorce a été retirée, entaillez sur 3cm sur cette partie nue. La marcotte ainsi prête, enfoncez-la dans une terre bien humide pour favoriser l’apparition des racines. Quand vous apercevrez les premières pousses apparaitre sur la marcotte, il est temps de la détacher de la plante mère et de la repiquer ailleurs dans une bonne terre neutre ou acide et correctement drainée.
Enfin, vous pouvez aussi greffer le pin parasol. Deux options s’offrent à vous : le greffage en placage et le greffage en fente. Dans tous les cas, utilisez le pin sylvestre comme porte-greffe pour que le greffage réussisse. En effet le pin sylvestre est le meilleur porte-greffe pour les conifères à aiguilles.
L’expansion du pin parasol est telle qu’une taille régulière mais espacée est indispensable. Mais elle doit se faire dans les bonnes proportions et pendant la période favorable. Bien qu’il s’agisse d’un un conifère à croissance relativement lente, il faut le tailler comme un parasol qui est son port naturel. Si la taille est mal réalisée, le pin parasol peut en mourir. Pour tailler le pin parasol correctement, supprimez avant tout les brindilles séchées. Taillez également les branches frêles et celles qui tendent à pousser vers le bas. Vous pouvez aussi coupez les tiges des étages inférieurs en laissant les deux derniers étages supérieurs intacts. En outre, l’éclaircissement du pin parasol aèrera le cœur du feuillage et laissera passer la lumière et le soleil au cœur du conifère. Cette taille inclura la suppression des branches les moins vigoureuses ainsi que celles qui se chevauchent et altèrent le port de l’arbre. Une fois les tiges taillées, appliquez du mastic cicatrisant sur les plaies. Utilisez pour cela du baume de cicatrisation que vous trouverez en jardinerie ou du goudron de Norvège. Cette opération limitera l’apparition de champignon et de maladie. Contrairement aux idées reçues, il ne faut en aucun cas étêter le pin parasol au risque de le tuer. Dans tous les cas, procédez à la taille de votre pin parasol en automne avant que le gel ne s’installe. Autrement, taillez votre conifère en été après la pousse.
Pour bien grandir le pin parasol a besoin d’eau et d’engrais. Bien qu’il n’aime pas l’eau qui stagne au niveua de son pied, le pin parasol appréciera un arrosage léger et espacé si son sol de culture est bien drainé. En outre, laissez de temps en temps la terre rester sèche sachant que le conifère supporte parfaitement les étés chauds et secs. Il est aussi inutile de faire un bassinage régulier. Mais humidifier l’atmosphère peut lui être bénéfique car l’humidité atmosphérique empêchera les nuisibles de s’installer dans son feuillage.
Quant à la fertilisation, de l’engrais organique à décomposition lente toute l’année sauf en été lui sera favorable. Evitez dans ce cas d’amender le sol en juillet et en août. Ajoutez un peu de nitrate de temps en temps pour enrichir la terre et bien nourrir le pin parasol.
Le pin parasol est assez résistant contre les maladies et les insectes ravageurs en général. Néanmoins, il redoute une invasion de chenille processionnaire. Vous reconnaîtrez la présence de ce nuisible par ses nids soyeux de couleur blanche sur les branches à l’automne. Cela entraine le jaunissement rapide du feuillage. A ce jour, il n’existe pas de traitement efficace contre la chenille processionnaire du pin. En revanche, vous pouvez supprimer les tiges infestées et les détruire au fur et à mesure. N’oubliez pas de porter des gants car le contact avec ces chenilles peut provoquer des réactions cutanées et respiratoires urticantes. Le seul traitement chimique contre la chenille processionnaire est la pulvérisation de bacillus thuringiensis. Mais il faut toutefois rester très vigilant car la chenille processionnaire peut tuer le pin parasol faute de traitement à temps.
Planter le pin parasol
La période favorable à la plantation du pin parasol est en automne. Cependant, vous pouvez aussi le mettre en terre du mois de mars au mois d’avril, en veillant à ne pas opérer lors des jours de gel. Le pin parasol affectionne les terres sèches et craint l’humidité du sol. Il requiert donc un milieu bien drainé. Vous pouvez dans ce cas le planter dans un mélange de sable et de terre pour favoriser le drainage.
Après la plantation, paillez le pied de votre pin parasol pour empêcher que les mauvaises herbes viennent envahir la surface aux alentours. S’il est vrai que les pins parasols sont rustiques jusqu’à -10°C, il est conseillé de protéger les jeunes sujets qui craignent le gel. Dans les deux cas, disposez une couche d’écorces de pin maritime en guise de paillage au niveau du pied de votre pin parasol. Les écorces de pin maritime sont parfaitement adaptées mais vous pouvez à défaut utiliser un autre matériau.
Multiplier le pin parasol
Vous pouvez reproduire votre pin parasol grâce à plusieurs techniques de multiplication : le semis de graines, le bouturage, le marcottage et greffage. Si vous voulez semer, vous devez préalablement stratifier les graines récoltées sur les cônes de votre pin parasol. La stratification permet en effet d’accélérer l’étape de la germination. Chez les conifères, les graines peuvent passer 2 mois à germer. Semez ensuite les graines sur un sillon de 3cm de profondeur. Puis, arrosez copieusement pour humidifier le sol.
Le bouturage est une autre technique de multiplication du pin parasol mais rarement utilisée en raison de la lenteur de l’enracinement. Faites le bouturage à la fin de l’hiver. Pour ce faire, sélectionnez des boutures saines sur un rameau préférablement âgé de 2 ans. Avant de les mettre en terre, plongez l’extrémité de la bouture dans de l’hormone d’enracinement.
Si vous voulez procéder par marcottage, choisissez une branche souple assez proche du sol. Il faut que sa longueur lui permette de se plier jusqu’au sol. Ainsi, dépecez la partie de la branche qui sera enterrée. Lorsque l’écorce a été retirée, entaillez sur 3cm sur cette partie nue. La marcotte ainsi prête, enfoncez-la dans une terre bien humide pour favoriser l’apparition des racines. Quand vous apercevrez les premières pousses apparaitre sur la marcotte, il est temps de la détacher de la plante mère et de la repiquer ailleurs dans une bonne terre neutre ou acide et correctement drainée.
Enfin, vous pouvez aussi greffer le pin parasol. Deux options s’offrent à vous : le greffage en placage et le greffage en fente. Dans tous les cas, utilisez le pin sylvestre comme porte-greffe pour que le greffage réussisse. En effet le pin sylvestre est le meilleur porte-greffe pour les conifères à aiguilles.
Tailler le pin parasol
L’expansion du pin parasol est telle qu’une taille régulière mais espacée est indispensable. Mais elle doit se faire dans les bonnes proportions et pendant la période favorable. Bien qu’il s’agisse d’un un conifère à croissance relativement lente, il faut le tailler comme un parasol qui est son port naturel. Si la taille est mal réalisée, le pin parasol peut en mourir. Pour tailler le pin parasol correctement, supprimez avant tout les brindilles séchées. Taillez également les branches frêles et celles qui tendent à pousser vers le bas. Vous pouvez aussi coupez les tiges des étages inférieurs en laissant les deux derniers étages supérieurs intacts. En outre, l’éclaircissement du pin parasol aèrera le cœur du feuillage et laissera passer la lumière et le soleil au cœur du conifère. Cette taille inclura la suppression des branches les moins vigoureuses ainsi que celles qui se chevauchent et altèrent le port de l’arbre. Une fois les tiges taillées, appliquez du mastic cicatrisant sur les plaies. Utilisez pour cela du baume de cicatrisation que vous trouverez en jardinerie ou du goudron de Norvège. Cette opération limitera l’apparition de champignon et de maladie. Contrairement aux idées reçues, il ne faut en aucun cas étêter le pin parasol au risque de le tuer. Dans tous les cas, procédez à la taille de votre pin parasol en automne avant que le gel ne s’installe. Autrement, taillez votre conifère en été après la pousse.
Nourrir et hydrater le pin parasol
Pour bien grandir le pin parasol a besoin d’eau et d’engrais. Bien qu’il n’aime pas l’eau qui stagne au niveua de son pied, le pin parasol appréciera un arrosage léger et espacé si son sol de culture est bien drainé. En outre, laissez de temps en temps la terre rester sèche sachant que le conifère supporte parfaitement les étés chauds et secs. Il est aussi inutile de faire un bassinage régulier. Mais humidifier l’atmosphère peut lui être bénéfique car l’humidité atmosphérique empêchera les nuisibles de s’installer dans son feuillage.
Quant à la fertilisation, de l’engrais organique à décomposition lente toute l’année sauf en été lui sera favorable. Evitez dans ce cas d’amender le sol en juillet et en août. Ajoutez un peu de nitrate de temps en temps pour enrichir la terre et bien nourrir le pin parasol.
Maladies et parasites du pin parasol
Le pin parasol est assez résistant contre les maladies et les insectes ravageurs en général. Néanmoins, il redoute une invasion de chenille processionnaire. Vous reconnaîtrez la présence de ce nuisible par ses nids soyeux de couleur blanche sur les branches à l’automne. Cela entraine le jaunissement rapide du feuillage. A ce jour, il n’existe pas de traitement efficace contre la chenille processionnaire du pin. En revanche, vous pouvez supprimer les tiges infestées et les détruire au fur et à mesure. N’oubliez pas de porter des gants car le contact avec ces chenilles peut provoquer des réactions cutanées et respiratoires urticantes. Le seul traitement chimique contre la chenille processionnaire est la pulvérisation de bacillus thuringiensis. Mais il faut toutefois rester très vigilant car la chenille processionnaire peut tuer le pin parasol faute de traitement à temps.
Bonjour.
J'ai fait facilement germer et pousser des pignons de pin. Mais lorsque la plante atteint 5 ou 6 cm, certaines tiges deviennent rouges, la plantule dépérit alors et finit par se ramollir,s'affaisser puis par mourir.Le substrat est à dominante sableuse, il est donc bien drainé. Je pense qu'il s'agit d'un problème de quantité d'arrosage. Que conseillez-vous à ce sujet ? Fréquence et quantité ? A quoi peut-on voir si l'arrosage est trop abondant ou s'il est insuffisant ?
Merci de votre aide.