Le Phoenix fait parti de la grande famille des Palmae. Le tronc est très massif et presque renflé, couvert d’un feuillage extrêmement persistant. Les frondes, en forme d’arc, sont fragmentées en folioles. Ces dernières sont reliées entre elles par un ligament brun, lequel tombe lorsqu’elles éclosent. La plante est dioïque et les inflorescences, de couleur beige, apparaissent à chaque été. Chez les mâles, elles sont de peu de longueurs et s’apparentent à une brosse contrairement à celles des femelles qui peuvent fructifier et sont plus longues. Quant aux fruits, ils sont d’un marron orangé, renfermant chacun une graine unique. Cultivé en intérieur, ce palmier ne fleurit pas. Les Phoenix peuvent donner des variétés d’hybride en les croisant entre eux. Le genre vous accompagnera longtemps en retour des soins qui lui sont offerts.
Le Phoenix est peu capricieux étant donné qu’il tolère l’aridité, le froid et tout type de terrain. Tout ce qu’il lui faut, c’est un endroit peu ombragé et d’un sol ordinaire et bien drainé. L’idéal serait cependant de le cultiver dans un substrat à base d’un mélange proportionnel de terreau, de sable et de terre végétale. Lorsque la pluie est rare, l’arrosage doit être très généreux, notamment lorsque la plante est encore jeune et aussi pendant l’été. Cela accélérera également sa croissance. N’arrosez que le soir, lorsque le soleil est faible, car en pleine journée, l’eau sera brûlant. En hiver, n’arrosez que parcimonieusement.
La plantation doit respecter quelques étapes. Commencez par faire une fosse qui fera le triple du volume de la motte que vous allez planter. Eparpillez ensuite la terre qu a été enlevée de manière à retirer touts les éléments grossiers. Préparez le substrat en mélangeant cette terre avec du terreau et de fertilisant organique comme le fumier. Ajoutez un peu de sable si votre sol n’est pas très drainant. Préparez le plant, en débutant par bassiner la motte. Puis, vous devez gratter et dégager tout doucement les racines sans les casser. Avant d’aménager le petit Phoenix dans son nouvel habitat, versez-y d’abord une petite quantité d’engrais. Enfin, vous allez recouvrir le tout du mélange préparé préalablement. Tassez autour et arrosez copieusement. Un tuteur est nécessaire si votre jeune pied fait déjà plus de 50cm.
Le semis de graine qui est une méthode de multiplication facile, mais le plus dur est de devoir attendre au moins trois ans pour que obtenir un vrai palmier, sans compter la temps pour la germination des graines. Celles-ci sont à planter dans une composition de sable et de tourbe humidifié. A conserver dans un climat chaleureux et à l’humidité constante.
Pendant sa jeunesse, protégez votre plante des chaleurs trop arides de l’été. A l’inverse, elle doit pouvoir jouir d’un maximum d’ensoleillement à maturité. La taille n’est pas indispensable sauf pour les feuilles et palmes délabrées, lesquelles sont devenues jaunes.
Les températures en intérieur conviennent toute l’année du moment que l’atmosphère est assez humide. L’idéal est cependant de leur donner un peu de temps de répit sous une température de 10°C afin qu’il soit encore plus fort et plus beau. En hiver, faites-le rentrer dans une pièce bien lumineuse et aérée s’il a passé tout l’été dehors.
Rempotez tous les 2 à 3 ans au printemps, dans un pot encore plus volumineux que l’ancien. Le rempotage est à faire lorsque des racines commencent à apparaître à la surface du pot. Si votre plante fait plus d’un mètre, ne changez que le mélange de la surface seulement, et tous les ans. La fertilisation à l’aide d’engrais liquide ordinaire est à faire toutes les trois semaines, au commencement du printemps jusqu’à la moitié d’automne.
Quant aux parasites, soyez bien vigilent contre les araignées rouges lorsqu’il est fait trop brûlant et aride. Elles sont reconnaissables par la présence de toiles très minces. Pour y remédier, bassinez fréquemment et utilisez un acaricide. Pour les cochenilles farineuses, nettoyez les parties envahies par de cotons-tiges trempés d’alcool et appliquez de l’insecticide systémique. Ces derniers sont repérables par l’existence d masses blanches sur les feuilles ou les tiges.
Culture, plantation et multiplication
Le Phoenix est peu capricieux étant donné qu’il tolère l’aridité, le froid et tout type de terrain. Tout ce qu’il lui faut, c’est un endroit peu ombragé et d’un sol ordinaire et bien drainé. L’idéal serait cependant de le cultiver dans un substrat à base d’un mélange proportionnel de terreau, de sable et de terre végétale. Lorsque la pluie est rare, l’arrosage doit être très généreux, notamment lorsque la plante est encore jeune et aussi pendant l’été. Cela accélérera également sa croissance. N’arrosez que le soir, lorsque le soleil est faible, car en pleine journée, l’eau sera brûlant. En hiver, n’arrosez que parcimonieusement.
La plantation doit respecter quelques étapes. Commencez par faire une fosse qui fera le triple du volume de la motte que vous allez planter. Eparpillez ensuite la terre qu a été enlevée de manière à retirer touts les éléments grossiers. Préparez le substrat en mélangeant cette terre avec du terreau et de fertilisant organique comme le fumier. Ajoutez un peu de sable si votre sol n’est pas très drainant. Préparez le plant, en débutant par bassiner la motte. Puis, vous devez gratter et dégager tout doucement les racines sans les casser. Avant d’aménager le petit Phoenix dans son nouvel habitat, versez-y d’abord une petite quantité d’engrais. Enfin, vous allez recouvrir le tout du mélange préparé préalablement. Tassez autour et arrosez copieusement. Un tuteur est nécessaire si votre jeune pied fait déjà plus de 50cm.
Le semis de graine qui est une méthode de multiplication facile, mais le plus dur est de devoir attendre au moins trois ans pour que obtenir un vrai palmier, sans compter la temps pour la germination des graines. Celles-ci sont à planter dans une composition de sable et de tourbe humidifié. A conserver dans un climat chaleureux et à l’humidité constante.
Soins et parasites
Pendant sa jeunesse, protégez votre plante des chaleurs trop arides de l’été. A l’inverse, elle doit pouvoir jouir d’un maximum d’ensoleillement à maturité. La taille n’est pas indispensable sauf pour les feuilles et palmes délabrées, lesquelles sont devenues jaunes.
Les températures en intérieur conviennent toute l’année du moment que l’atmosphère est assez humide. L’idéal est cependant de leur donner un peu de temps de répit sous une température de 10°C afin qu’il soit encore plus fort et plus beau. En hiver, faites-le rentrer dans une pièce bien lumineuse et aérée s’il a passé tout l’été dehors.
Rempotez tous les 2 à 3 ans au printemps, dans un pot encore plus volumineux que l’ancien. Le rempotage est à faire lorsque des racines commencent à apparaître à la surface du pot. Si votre plante fait plus d’un mètre, ne changez que le mélange de la surface seulement, et tous les ans. La fertilisation à l’aide d’engrais liquide ordinaire est à faire toutes les trois semaines, au commencement du printemps jusqu’à la moitié d’automne.
Quant aux parasites, soyez bien vigilent contre les araignées rouges lorsqu’il est fait trop brûlant et aride. Elles sont reconnaissables par la présence de toiles très minces. Pour y remédier, bassinez fréquemment et utilisez un acaricide. Pour les cochenilles farineuses, nettoyez les parties envahies par de cotons-tiges trempés d’alcool et appliquez de l’insecticide systémique. Ces derniers sont repérables par l’existence d masses blanches sur les feuilles ou les tiges.
