Le carambolier est un arbre typique des régions tropicales mais est originaire d'Asie. Il appartient à la famille botanique des oxalidacées. Le port de l’arbre est érigé mais présente de nombreuses ramifications. Les feuilles persistantes composées de couleur verte sont très longues étant donné qu’elles peuvent atteindre les 25 cm de long. Ses fleurs sont de couleur rose tendre et prennent naissance soit au niveau des aisselles des feuilles soit aux extrémités des rameaux. Elles sont disposées en petites grappes. Le carambolier produit des fruits de formes allongées, les caramboles, de couleur jaune et qui sont caractérisés par la présence des côtes très marquées au nombre de 5 ou 6. La pulpe est fine et renferme une chair jaunâtre très croquante et juteuse et de nombreuses petites graines de couleur brune. Le virage de la couleur de l’épiderme du vert en jaune marque la maturité des fruits et cet événement se produit généralement environ une quarantaine de jours après la floraison. Seuls les arbres âgés de plus de 5 ans sont aptes à produire de bons fruits. Du fait de leur richesse en vitamine C et en acide oxalique, les caramboles sont des fruits à multiples usages en cuisine car elles se prêtent à la dégustation crue, à la décoration des plats, à la préparation d’un dessert ou tout simplement au nettoyage des ustensiles afin de lutter contre les rouilles.
À la différence de la majorité des arbres fruitiers des régions tropicales, le carambolier n’aime pas l’action directe du soleil. Par contre, il se développe bien dans un emplacement semi-ombragé en association avec des arbres de grande taille susceptible de le protéger. Les jeunes plantes ne supportent pas les basses températures même si à l’âge adulte, ils peuvent s’adapter à des froids ne dépassant toutefois pas les -3°C. Les meilleures périodes pour planter votre carambolier se passent autour du printemps ou de l’automne. Toutefois, les plants achetés en motte peuvent être mis en terre à n’importe quel moment de l’année à condition de les abriter du vent lors des périodes de fortes pluies et de grands froids. Cet arbre est assez gourmand en eau et il doit donc être arrosé régulièrement afin de maintenir un certain degré d’humidité. Si la chaleur est trop forte, vous pouvez installer un paillage à la base de l’arbre pour maintenir la fraîcheur de la terre et protéger ainsi le système racinaire du dessèchement. L’entretien du carambolier consiste uniquement à effectuer une taille de formation pour favoriser la ramification de l’arbre. Coupez aussi les mauvaises branches et les bois morts de manière à ne laisser que les branches dites charpentières.
Le carambolier se multiplie par semis ou par marcottage. La première technique consiste à effectuer des semis de graines fraîches dans des pots contenant du sol riche et bien drainé. Arrosez abondamment pour fournir une humidité adéquate avant d’y ensemencer les graines. Toutefois, le semis ne reproduit pas fidèlement les caractéristiques de la plante-mère malgré le fait qu’il est assez facile à réaliser. L’alternative parfaite c’est de faire un marcottage aérien ou du bouturage durant le printemps. La technique de marcottage en cépée peut facilement être réalisée sur le carambolier. Il suffit juste de couper la plante-mère jusqu’à une hauteur de 20 cm à partir du sol et de laisser apparaître les nouveaux rameaux. Ces derniers seront ensuite enveloppés dans un sachet en plastique contenant un mélange de terreau et de tourbe jusqu’à l’apparition des racines. Lorsque vous constatez que les racines nouvellement formées sur les rameaux sont assez nombreuses et bien développées, vous pouvez sectionner ces rameaux jusqu’au ras de la plante-mère et les transplanter dans des pots ou en pleine terre. Le bouturage des jeunes rameaux du carambolier est également possible. Le bouturage classique est plus facile à réaliser notamment pour les débutants. Pour cela, il faut choisir des rameaux sans fleurs, prolifères, sains et exempts de toutes traces d'insectes porteurs de maladie. Prélevez aseptiquement des morceaux entre 10 et 15 cm de long et enlevez toutes les feuilles au niveau de la partie que vous allez enterrer. Arrosez abondamment jusqu’à la transplantation définitive.
La culture et l’entretien du carambolier
À la différence de la majorité des arbres fruitiers des régions tropicales, le carambolier n’aime pas l’action directe du soleil. Par contre, il se développe bien dans un emplacement semi-ombragé en association avec des arbres de grande taille susceptible de le protéger. Les jeunes plantes ne supportent pas les basses températures même si à l’âge adulte, ils peuvent s’adapter à des froids ne dépassant toutefois pas les -3°C. Les meilleures périodes pour planter votre carambolier se passent autour du printemps ou de l’automne. Toutefois, les plants achetés en motte peuvent être mis en terre à n’importe quel moment de l’année à condition de les abriter du vent lors des périodes de fortes pluies et de grands froids. Cet arbre est assez gourmand en eau et il doit donc être arrosé régulièrement afin de maintenir un certain degré d’humidité. Si la chaleur est trop forte, vous pouvez installer un paillage à la base de l’arbre pour maintenir la fraîcheur de la terre et protéger ainsi le système racinaire du dessèchement. L’entretien du carambolier consiste uniquement à effectuer une taille de formation pour favoriser la ramification de l’arbre. Coupez aussi les mauvaises branches et les bois morts de manière à ne laisser que les branches dites charpentières.
La multiplication du carambolier
Le carambolier se multiplie par semis ou par marcottage. La première technique consiste à effectuer des semis de graines fraîches dans des pots contenant du sol riche et bien drainé. Arrosez abondamment pour fournir une humidité adéquate avant d’y ensemencer les graines. Toutefois, le semis ne reproduit pas fidèlement les caractéristiques de la plante-mère malgré le fait qu’il est assez facile à réaliser. L’alternative parfaite c’est de faire un marcottage aérien ou du bouturage durant le printemps. La technique de marcottage en cépée peut facilement être réalisée sur le carambolier. Il suffit juste de couper la plante-mère jusqu’à une hauteur de 20 cm à partir du sol et de laisser apparaître les nouveaux rameaux. Ces derniers seront ensuite enveloppés dans un sachet en plastique contenant un mélange de terreau et de tourbe jusqu’à l’apparition des racines. Lorsque vous constatez que les racines nouvellement formées sur les rameaux sont assez nombreuses et bien développées, vous pouvez sectionner ces rameaux jusqu’au ras de la plante-mère et les transplanter dans des pots ou en pleine terre. Le bouturage des jeunes rameaux du carambolier est également possible. Le bouturage classique est plus facile à réaliser notamment pour les débutants. Pour cela, il faut choisir des rameaux sans fleurs, prolifères, sains et exempts de toutes traces d'insectes porteurs de maladie. Prélevez aseptiquement des morceaux entre 10 et 15 cm de long et enlevez toutes les feuilles au niveau de la partie que vous allez enterrer. Arrosez abondamment jusqu’à la transplantation définitive.
l'hospitalité des canadiens, l'esprit de travail et le désire de vouloir s'améliorer et améliorer le devenir de mes enfants me poussent à habiter le canada.