La corête du japon: présentation et particularités
La corête du Japon est l’une des espèces à fleurs les plus faciles à cultiver. Elle pousse très rapidement et produit des arbustes de petite taille au feuillage très fourni. Cet arbuste appartient à la famille des rosacées. Sa végétation vigoureuse est soutenue par des feuilles aux tiges grêles et toujours vertes. Cet arbre drageonne énormément, et a une histoire très particulière. Avant qu’Auguste pyrame ne l’identifie clairement, et ne crée un genre kerria dans la famille des rosacées, la plante était considérée comme une tiliacée. En fait, les premiers échantillons de corête du Japon auxquels les botanistes eurent accès ne portaient pas de fleurs, ce qui a favorisé ce classement erroné. Mais après le travail de Pyrame, il s’est posé la question de savoir d’où la plante était originaire. Jusqu’ici, on pensait qu’il s’agissait d’une plante japonaise, mais des descriptions japonaises identifiaient la plante comme une variété chinoise. Toutefois, puisque de nombreuses espèces sont devenues presque endémiques dans ce pays, les botanistes n’ont pas modifié leur avis cette fois. Finalement, la plante a été surnommée kerria japonica. Aujourd’hui, on sait que d’après la classification de Cronquist; elle appartient au sous-règne des trachéobiontés, à la division des magnoliophytes, à la classe des magnoliopsidés, à l’ordre des rosales et à la famille des rosacées.
Au sein du genre kerria, on retrouve deux variétés. La première est la « peniflora », la variété la plus cultivée par les horticulteurs. Elle possède un port compact, vigoureux, gracieux, et des fleurs doubles très grandes. La variété peniflora est cultivée en Europe depuis le 18ème siècle, avant même qu’on ne commence à en cultiver en France. La deuxième variété est l’« argenteovariegata »; plus connue sous un autre nom: la corête « picta ». Elle se caractérise par un feuillage vert-glauque orné de jaunes aux bords. Cette plante fleurit énormément, mais elle est très fragile et difficile à cultiver. C’est pourquoi on lui préfère la variété précédente.
Faire pousser une corête du Japon
La qualité du sol et du climat importent peu. Les corêtes poussent partout et sont très rustiques. Un sol calcaire qui détruirait d’autres espèces n’a pas d’incidence sur la croissance de cette plante. Ceci s’applique davantage pour la variété « peniflora ». Ceux qui cultivent une corête « picta » doivent meubler un sol profond et très bien drainé, et ils devraient le fertiliser au besoin si celui-ci n’est pas très riche. Quelle que soit la variété mise en terre, la plante devra bénéficier d’un ensoleillement régulier et suffisant. Les corêtes du Japon ont un inconvénient: elles drageonnent très rapidement et presque de façon continue. Lorsque l’arbre n’est pas taillé rapidement, il prend des dimensions spectaculaires. Heureusement, la durée de vie de tiges à l’intérieur de la touffe n’est que de trois ans. Mais avant que celles-ci ne meurent, il faudra tailler l’arbuste régulièrement. Une autre raison pour laquelle vous devrez procéder au taillis est que les branches de la plante s’enchevêtrent régulièrement. Il faudra donc rabattre l’arbre après la floraison et supprimer les plus vieilles branches. Une astuce de botaniste recommande de la planter le long d’un mur pour favoriser son palissage et accélérer la floraison. Pour multiplier la plante, on sépare les drageons les plus jeunes en hiver et on les plante ailleurs, dans un terreau fertile. Il est aussi possible de bouturer les jeunes pousses. Le mois de juin est la période la plus appropriée pour ce bouturage. En août, vous pouvez procéder à la multiplication des plants en bouturant les espèces semi-ligneuses. En octobre enfin, vous pourrez prélever les rejets et les repiquer ailleurs. Toutes les espèces ne sont pas résistantes aux maladies. Si la pléniflora ne craint presque rien, la picta en revanche, peut être attaquée par les pucerons, l’oïdium, et toutes les maladies qui affectent les plantes rosacées. Certains horticulteurs jugent préférables de concentrer leurs efforts sur les variétés résistantes du corête du Japon.
La corête du Japon est l’une des espèces à fleurs les plus faciles à cultiver. Elle pousse très rapidement et produit des arbustes de petite taille au feuillage très fourni. Cet arbuste appartient à la famille des rosacées. Sa végétation vigoureuse est soutenue par des feuilles aux tiges grêles et toujours vertes. Cet arbre drageonne énormément, et a une histoire très particulière. Avant qu’Auguste pyrame ne l’identifie clairement, et ne crée un genre kerria dans la famille des rosacées, la plante était considérée comme une tiliacée. En fait, les premiers échantillons de corête du Japon auxquels les botanistes eurent accès ne portaient pas de fleurs, ce qui a favorisé ce classement erroné. Mais après le travail de Pyrame, il s’est posé la question de savoir d’où la plante était originaire. Jusqu’ici, on pensait qu’il s’agissait d’une plante japonaise, mais des descriptions japonaises identifiaient la plante comme une variété chinoise. Toutefois, puisque de nombreuses espèces sont devenues presque endémiques dans ce pays, les botanistes n’ont pas modifié leur avis cette fois. Finalement, la plante a été surnommée kerria japonica. Aujourd’hui, on sait que d’après la classification de Cronquist; elle appartient au sous-règne des trachéobiontés, à la division des magnoliophytes, à la classe des magnoliopsidés, à l’ordre des rosales et à la famille des rosacées.
Au sein du genre kerria, on retrouve deux variétés. La première est la « peniflora », la variété la plus cultivée par les horticulteurs. Elle possède un port compact, vigoureux, gracieux, et des fleurs doubles très grandes. La variété peniflora est cultivée en Europe depuis le 18ème siècle, avant même qu’on ne commence à en cultiver en France. La deuxième variété est l’« argenteovariegata »; plus connue sous un autre nom: la corête « picta ». Elle se caractérise par un feuillage vert-glauque orné de jaunes aux bords. Cette plante fleurit énormément, mais elle est très fragile et difficile à cultiver. C’est pourquoi on lui préfère la variété précédente.
Faire pousser une corête du Japon
La qualité du sol et du climat importent peu. Les corêtes poussent partout et sont très rustiques. Un sol calcaire qui détruirait d’autres espèces n’a pas d’incidence sur la croissance de cette plante. Ceci s’applique davantage pour la variété « peniflora ». Ceux qui cultivent une corête « picta » doivent meubler un sol profond et très bien drainé, et ils devraient le fertiliser au besoin si celui-ci n’est pas très riche. Quelle que soit la variété mise en terre, la plante devra bénéficier d’un ensoleillement régulier et suffisant. Les corêtes du Japon ont un inconvénient: elles drageonnent très rapidement et presque de façon continue. Lorsque l’arbre n’est pas taillé rapidement, il prend des dimensions spectaculaires. Heureusement, la durée de vie de tiges à l’intérieur de la touffe n’est que de trois ans. Mais avant que celles-ci ne meurent, il faudra tailler l’arbuste régulièrement. Une autre raison pour laquelle vous devrez procéder au taillis est que les branches de la plante s’enchevêtrent régulièrement. Il faudra donc rabattre l’arbre après la floraison et supprimer les plus vieilles branches. Une astuce de botaniste recommande de la planter le long d’un mur pour favoriser son palissage et accélérer la floraison. Pour multiplier la plante, on sépare les drageons les plus jeunes en hiver et on les plante ailleurs, dans un terreau fertile. Il est aussi possible de bouturer les jeunes pousses. Le mois de juin est la période la plus appropriée pour ce bouturage. En août, vous pouvez procéder à la multiplication des plants en bouturant les espèces semi-ligneuses. En octobre enfin, vous pourrez prélever les rejets et les repiquer ailleurs. Toutes les espèces ne sont pas résistantes aux maladies. Si la pléniflora ne craint presque rien, la picta en revanche, peut être attaquée par les pucerons, l’oïdium, et toutes les maladies qui affectent les plantes rosacées. Certains horticulteurs jugent préférables de concentrer leurs efforts sur les variétés résistantes du corête du Japon.
