Si vous désirez donner une bonne touche de gaieté à votre jardin ou même votre intérieur, la corète du Japon saura sans doute vous satisfaire. Cette plante apparaît sous la forme d’un arbuste de petite taille, avec tout de même 2 mètres de hauteur moyenne. Elle est paradoxalement originaire de la Chine australe, alors que son nom scientifique est Corchorus japonicus 'Pleniflora' ou encore Kerria Japonica. Ce détail technique est du au fait que la plante aura finalement été naturalisée au Japon où elle aura été ensuite introduite. Elle intègre la famille botanique des rosacées, dont font partie les roses notamment. Cette plante d’intérêt printanier offre ses fleurs entre avril et mai. Si vous l’entretenez le mieux possible, elle pourra vous gratifier d’une seconde floraison en automne. Cette prouesse sera réalisable avec une taille effectuée après la première floraison. Il n’en reste pas moins que la couleur verte éclatante de son feuillage lui confèreront un perpétuel intérêt quelque soit la saison. Vous la trouverez la plus décorative lorsqu’elle sera plantée en haie libre, mais aussi en isolé ou en massif. Ses ramifications peuvent se montrer très traçantes et facilement étendre la plante alentours.
La corète Pleniflora présente un vrai plaisir pour les yeux avec ses feuilles teintées d’un vert vif toute l’année. Elles s’accompagnent de rameaux eux aussi verts en permanence, et à l’architecture arquée. Les feuilles sont striées et fortement dentées, avec une base arrondie et une extrémité supérieure en pointe. Lorsque la floraison arrive, la corète arbore des fleurs d’un jaune vif légèrement orangé en forme de pompon. Les pétales sont longilignes et arrondis à leur extrémité externe. Leur structure est plutôt simple mais peut se diviser en une fleur double sur certaines variantes. L’inflorescence se montre particulièrement abondante et domine pratiquement toute la partie supérieure de l’arbuste. Cette plante montre en outre un port érigé et évasé. Il s’étale en de nombreux rameaux, mais ceux-ci ne sont pas spécialement ramifiés.
Il lui faut tout d’abord un climat méditerranéen avec une certaine chaleur. Par ailleurs, la corète se plaira aussi en milieu océanique avec les embruns et une humidité bien présente. La sécheresse trop prononcée surtout au niveau du sol lui est fortement déconseillée. Un climat de style tempéré aux faibles amplitudes thermiques est également favorable à cet arbuste. La douceur des températures générales se montre intéressante pour une meilleure pousse de cet arbrisseau. Il tolèrera enfin un climat continental, mais il vous faudra être plus prudent sur ce type de milieu, en particulier avec le gel. Il reste cependant que la rusticité de ce kerria Japonica en fait l’une des références, toutes variétés confondues. L’arbuste pourra effectivement supporter une baisse de température occasionnelle à hauteur de -15 degrés durant l’hiver. Sur le lieu même de sa culture, la corète vous remerciera de la placer entre une exposition ensoleillée et semi ombragée. Si c’est possible, ne l’exposez pas trop au vent, surtout froid. En région littorale atlantique notamment, la présence de grands vents sera atténuée par une disposition le long d’un muret orienté vers l’Est. Le sol de prédilection de la corète est de type frais et ordinaire. Il déteste les terrains secs, donnez lui toujours un milieu humide en profondeur. Il faut cependant ne pas confondre humide et marécageux. La stagnation d’eau peut lui être assez néfaste. Faites en sorte que la terre soit plutôt drainante, ce qui pourra très bien être résolu avec l’ajout de sable dans la terre de votre jardin. L’acidité du sol ne lui importe pas trop, il poussera aussi bien en terre calcaire qu’acide. Il n’en reste pas moins qu’un terrain trop alcalin n’est pas toujours bon.
Pour donner à votre corète le meilleur terrain possible, vous aurez donc à respecter les données mentionnées précédemment. Pour ce faire, la préparation de l’emplacement de sa plantation est cruciale. Une fois que vous aurez bien calculé l’exposition, et les autres paramètres, le lieu devra être bien dégagé par rapport au futur gabarit de la plante adulte. Comptez un encombrement d’au moins 3 mètres de diamètre au sol. Passez ensuite au creusement du trou à la bêche. Tenez compte des dimensions de la motte de conditionnement de la jeune pousse. Si tout va bien, la cavité devrait être environ 4 fois plus grosse que la motte. Cela doit correspondre à un trou de 50 centimètres carrés. Utilisez ensuite la terre extraite en la pétrissant pour qu’elle devienne homogène. Portez des gants de jardinage pour l’occasion, car vous risquez de vous blesser s’il y a des débris divers dans la terre. Profitez d’ailleurs de cette étape pour extraire et jeter tout ce qui n’est pas de la terre. Ajoutez y du terreau (moitié de la quantité de terre) pour l’enrichir, puis du sable pour la rendre drainante. En dernier lieu, un apport en engrais sera toujours très apprécié par la plante.
La période idéale pour mettre en pleine terre la corète n’est pas spécialement fixée, mais il faut absolument proscrire les phases de gel. Commencez par ne pas prendre des pousses trop âgées pour la plantation. Passez en outre votre commande lorsque vous êtes vraiment décidé à la planter, ainsi vous aurez des pousses toutes fraîches. Le moyen le plus pratique de cultiver cet arbuste est de le prendre en motte. C’est un conditionnement qui lui adjoint une motte de terre au niveau des racines. La taille moyenne de la plante doit être d’environ 15 à 20 centimètres. Dégagez les racines soigneusement si elles sont enchevêtrées entre elles. Gardez toujours la motte ou la terre qui s’en échappe car elle contient de très bons substrats pour la plante. Trempez par la suite la motte dans de l’eau durant quelques minutes pour hydrater les racines. Vous pouvez alors passer à la phase finale.
L’arbuste est simple à mettre en terre avec une disposition au centre de la cavité. Donnez lui une posture droite et étalez bien ses racines dans le fond. Si la pousse vous semble quelque peu fragile, adjoignez lui un tuteur. Prenez par la suite votre mélange de terre pour remplir l’excavation et tassez le tout lorsque le niveau de terre arrive au ras des racines les plus hautes. Ne laissez cependant pas sortir les racines car elles doivent toutes être en contact avec la terre. La terre serait plus efficace si elle était disposée légèrement en cuvette autour du plant. Cela donnerait un effet de concentration de l’eau vers les racines lors de l’arrosage. Effectuez enfin un bon arrosage tout en veillant à ce que l’eau ne stagne pas autour de la plante. Il n’y a pas de recommandation particulière pour l’entretien à part un rabattage à la fin de la floraison. Pour mieux relancer la prochaine inflorescence et rendre la plante plus esthétique, enlevez lui les bois morts. Un petit paillage serait le bienvenu autour de la base pour retenir l’humidité en été et préserver des gels en hiver. Le paillis prévient enfin l’apparition des mauvaises herbes. Cela consisterait en une petite couche d’écorce de pin broyée ou des feuilles mortes, voyez quand même l’aspect esthétique si c’est encore possible. La couche ne doit pas excéder une épaisseur de 5 centimètres.
La présentation très décorative de la corète du Japon
La corète Pleniflora présente un vrai plaisir pour les yeux avec ses feuilles teintées d’un vert vif toute l’année. Elles s’accompagnent de rameaux eux aussi verts en permanence, et à l’architecture arquée. Les feuilles sont striées et fortement dentées, avec une base arrondie et une extrémité supérieure en pointe. Lorsque la floraison arrive, la corète arbore des fleurs d’un jaune vif légèrement orangé en forme de pompon. Les pétales sont longilignes et arrondis à leur extrémité externe. Leur structure est plutôt simple mais peut se diviser en une fleur double sur certaines variantes. L’inflorescence se montre particulièrement abondante et domine pratiquement toute la partie supérieure de l’arbuste. Cette plante montre en outre un port érigé et évasé. Il s’étale en de nombreux rameaux, mais ceux-ci ne sont pas spécialement ramifiés.
Le style d’environnement idéal pour la corète du Japon
Il lui faut tout d’abord un climat méditerranéen avec une certaine chaleur. Par ailleurs, la corète se plaira aussi en milieu océanique avec les embruns et une humidité bien présente. La sécheresse trop prononcée surtout au niveau du sol lui est fortement déconseillée. Un climat de style tempéré aux faibles amplitudes thermiques est également favorable à cet arbuste. La douceur des températures générales se montre intéressante pour une meilleure pousse de cet arbrisseau. Il tolèrera enfin un climat continental, mais il vous faudra être plus prudent sur ce type de milieu, en particulier avec le gel. Il reste cependant que la rusticité de ce kerria Japonica en fait l’une des références, toutes variétés confondues. L’arbuste pourra effectivement supporter une baisse de température occasionnelle à hauteur de -15 degrés durant l’hiver. Sur le lieu même de sa culture, la corète vous remerciera de la placer entre une exposition ensoleillée et semi ombragée. Si c’est possible, ne l’exposez pas trop au vent, surtout froid. En région littorale atlantique notamment, la présence de grands vents sera atténuée par une disposition le long d’un muret orienté vers l’Est. Le sol de prédilection de la corète est de type frais et ordinaire. Il déteste les terrains secs, donnez lui toujours un milieu humide en profondeur. Il faut cependant ne pas confondre humide et marécageux. La stagnation d’eau peut lui être assez néfaste. Faites en sorte que la terre soit plutôt drainante, ce qui pourra très bien être résolu avec l’ajout de sable dans la terre de votre jardin. L’acidité du sol ne lui importe pas trop, il poussera aussi bien en terre calcaire qu’acide. Il n’en reste pas moins qu’un terrain trop alcalin n’est pas toujours bon.
Des petits préparatifs pour le sol
Pour donner à votre corète le meilleur terrain possible, vous aurez donc à respecter les données mentionnées précédemment. Pour ce faire, la préparation de l’emplacement de sa plantation est cruciale. Une fois que vous aurez bien calculé l’exposition, et les autres paramètres, le lieu devra être bien dégagé par rapport au futur gabarit de la plante adulte. Comptez un encombrement d’au moins 3 mètres de diamètre au sol. Passez ensuite au creusement du trou à la bêche. Tenez compte des dimensions de la motte de conditionnement de la jeune pousse. Si tout va bien, la cavité devrait être environ 4 fois plus grosse que la motte. Cela doit correspondre à un trou de 50 centimètres carrés. Utilisez ensuite la terre extraite en la pétrissant pour qu’elle devienne homogène. Portez des gants de jardinage pour l’occasion, car vous risquez de vous blesser s’il y a des débris divers dans la terre. Profitez d’ailleurs de cette étape pour extraire et jeter tout ce qui n’est pas de la terre. Ajoutez y du terreau (moitié de la quantité de terre) pour l’enrichir, puis du sable pour la rendre drainante. En dernier lieu, un apport en engrais sera toujours très apprécié par la plante.
La corète du Japon conditionnée en motte
La période idéale pour mettre en pleine terre la corète n’est pas spécialement fixée, mais il faut absolument proscrire les phases de gel. Commencez par ne pas prendre des pousses trop âgées pour la plantation. Passez en outre votre commande lorsque vous êtes vraiment décidé à la planter, ainsi vous aurez des pousses toutes fraîches. Le moyen le plus pratique de cultiver cet arbuste est de le prendre en motte. C’est un conditionnement qui lui adjoint une motte de terre au niveau des racines. La taille moyenne de la plante doit être d’environ 15 à 20 centimètres. Dégagez les racines soigneusement si elles sont enchevêtrées entre elles. Gardez toujours la motte ou la terre qui s’en échappe car elle contient de très bons substrats pour la plante. Trempez par la suite la motte dans de l’eau durant quelques minutes pour hydrater les racines. Vous pouvez alors passer à la phase finale.
La plantation et l’entretien de la corète du Japon
L’arbuste est simple à mettre en terre avec une disposition au centre de la cavité. Donnez lui une posture droite et étalez bien ses racines dans le fond. Si la pousse vous semble quelque peu fragile, adjoignez lui un tuteur. Prenez par la suite votre mélange de terre pour remplir l’excavation et tassez le tout lorsque le niveau de terre arrive au ras des racines les plus hautes. Ne laissez cependant pas sortir les racines car elles doivent toutes être en contact avec la terre. La terre serait plus efficace si elle était disposée légèrement en cuvette autour du plant. Cela donnerait un effet de concentration de l’eau vers les racines lors de l’arrosage. Effectuez enfin un bon arrosage tout en veillant à ce que l’eau ne stagne pas autour de la plante. Il n’y a pas de recommandation particulière pour l’entretien à part un rabattage à la fin de la floraison. Pour mieux relancer la prochaine inflorescence et rendre la plante plus esthétique, enlevez lui les bois morts. Un petit paillage serait le bienvenu autour de la base pour retenir l’humidité en été et préserver des gels en hiver. Le paillis prévient enfin l’apparition des mauvaises herbes. Cela consisterait en une petite couche d’écorce de pin broyée ou des feuilles mortes, voyez quand même l’aspect esthétique si c’est encore possible. La couche ne doit pas excéder une épaisseur de 5 centimètres.
