Les particularités du cagnossier à fleurs
Le cognassier à fleurs est plus souvent appelé chænomeles japonica. C’est un arbuste à fleurs qui comme beaucoup d’autres, fleurit au printemps. Ses branches et son tronc sont épineux, et il s’arrondit au fur et à mesure qu’il prend de l’âge. Le cognassier à fleurs commence à fleurir dès la fin de l’hiver, en s’ouvrant sur le bois nu. A ce moment, on peut noter que les petits bourgeons portent des coloris roses, rouges, ou blancs en fonction des variétés. Les bourgeons persistent jusqu’à l’apparition du feuillage et la floraison définitive au printemps. L’arbre est aussi connu pour ses épines très acérées et nombreuses. L’arbre produit des fruits d’un jaune doré qui de prime abord, ne semblent pas être comestibles. En effet, leur goût âpre, astringent et amer est même repoussant. Mais quand ils sont cuits, ces fruits peuvent produire d’excellentes gelées, tout comme le coing de Cydonia. On fabrique aussi des confitures grâce à ces fruits, et ils peuvent renforcer la saveur des poires et des pommes. Enfin, les fruits du cagnossier à fleurs servent aussi à fabriquer des liqueurs.
On compte de nombreuses variétés de cagnossier à fleurs. La plus connue est sans doute la variété japonica, très commune au Japon et en France. Ses fleurs d’un rouge-brique abondent en mars-avril. L’espèce speciosa est un arbuste épineux à la prot droite qui compte de nombreuses autres variétés singulières. Dans ce groupe on retrouve le « falconnet charlet » qui peut mesurer deux mètres et produit de fleurs roses saumonées; la variété « umbilicata » qui est la seule à ne pas produire d’épines; et la variété « nivalis » qui, contrairement à ses congénères, ne produit que des fleurs blanches.
Cultiver le cognassier à fleurs
La culture de cet arbre peut procurer beaucoup de plaisirs, car la plante n’est pas « difficile ». Elle pousse sur tous les types de sols, même sur des terres rocailleuses et caillouteuses. Mais dans le meilleur des cas, il faut préparer un sol léger, drainé et frais. Le cognassier ne craint pas le calcaire. Une fois qu’elle est mise en terre, la plante n’a pas besoin de fertilisants. Au cours du premier été, la plante doit être exposée au soleil et arrosée tous les 15 jours. Cependant, certains botanistes recommandent de la placer à la mi-ombre où elle se développe plus rapidement. Parfois, le choix de la variété et l’emplacement dans le jardin peuvent améliorer la production des fleurs. Par exemple, la variété japonica devrait généralement être placée à l’est, car la lumière du soleil du petit matin favorise son épanouissement. En hiver, il n’est pas nécessaire de protéger le cognassier contre le froid et le gel. En effet, elle est très rustique et peut supporter des baisses de température de l’ordre de -25°C.
On peut planter le cognassier isolément, ou en haies. Les petits arbustes croissent rapidement quand ils sont cultivés en haies, plantés les uns auprès des autres. Toutefois, il faut respecter un écart d’au-moins 1,5 mètres entre les plantes, puisqu’ils vont drageonner et étaler leurs branches épineuses. Les cognassiers constituent des haies très épineuses et impénétrables que les petites bêtes redoutent. Lorsqu’il est planté dans un massif, le cognassier à fleurs devrait être taillé tous les trois ans, pour éliminer les rameaux en surnombre. La taille s’effectue après la floraison au printemps. Pour les sujets palissés, la taille de toutes les pousses de l’année précédente est de mise au milieu du mois de mai. Les cognassiers sont vulnérables à la tavelure et au feu bactérien. Pour prévenir ces maladies, il faut leur appliquer un traitement à la bouillie bordelaise en automne et au printemps. Enfin, il est possible de lui associer quelques autres plantes décoratives en haies, notamment le forsytha, le berbéris, et le prunellier. D’autres arbres tout aussi épineux conviennent feront aussi l’affaire. Mais quand elle est associée à d’autres espèces épineuses, le cagnossier à fleurs ne doit pas être placé dans un endroit très fréquenté.
Le cognassier à fleurs est plus souvent appelé chænomeles japonica. C’est un arbuste à fleurs qui comme beaucoup d’autres, fleurit au printemps. Ses branches et son tronc sont épineux, et il s’arrondit au fur et à mesure qu’il prend de l’âge. Le cognassier à fleurs commence à fleurir dès la fin de l’hiver, en s’ouvrant sur le bois nu. A ce moment, on peut noter que les petits bourgeons portent des coloris roses, rouges, ou blancs en fonction des variétés. Les bourgeons persistent jusqu’à l’apparition du feuillage et la floraison définitive au printemps. L’arbre est aussi connu pour ses épines très acérées et nombreuses. L’arbre produit des fruits d’un jaune doré qui de prime abord, ne semblent pas être comestibles. En effet, leur goût âpre, astringent et amer est même repoussant. Mais quand ils sont cuits, ces fruits peuvent produire d’excellentes gelées, tout comme le coing de Cydonia. On fabrique aussi des confitures grâce à ces fruits, et ils peuvent renforcer la saveur des poires et des pommes. Enfin, les fruits du cagnossier à fleurs servent aussi à fabriquer des liqueurs.
On compte de nombreuses variétés de cagnossier à fleurs. La plus connue est sans doute la variété japonica, très commune au Japon et en France. Ses fleurs d’un rouge-brique abondent en mars-avril. L’espèce speciosa est un arbuste épineux à la prot droite qui compte de nombreuses autres variétés singulières. Dans ce groupe on retrouve le « falconnet charlet » qui peut mesurer deux mètres et produit de fleurs roses saumonées; la variété « umbilicata » qui est la seule à ne pas produire d’épines; et la variété « nivalis » qui, contrairement à ses congénères, ne produit que des fleurs blanches.
Cultiver le cognassier à fleurs
La culture de cet arbre peut procurer beaucoup de plaisirs, car la plante n’est pas « difficile ». Elle pousse sur tous les types de sols, même sur des terres rocailleuses et caillouteuses. Mais dans le meilleur des cas, il faut préparer un sol léger, drainé et frais. Le cognassier ne craint pas le calcaire. Une fois qu’elle est mise en terre, la plante n’a pas besoin de fertilisants. Au cours du premier été, la plante doit être exposée au soleil et arrosée tous les 15 jours. Cependant, certains botanistes recommandent de la placer à la mi-ombre où elle se développe plus rapidement. Parfois, le choix de la variété et l’emplacement dans le jardin peuvent améliorer la production des fleurs. Par exemple, la variété japonica devrait généralement être placée à l’est, car la lumière du soleil du petit matin favorise son épanouissement. En hiver, il n’est pas nécessaire de protéger le cognassier contre le froid et le gel. En effet, elle est très rustique et peut supporter des baisses de température de l’ordre de -25°C.
On peut planter le cognassier isolément, ou en haies. Les petits arbustes croissent rapidement quand ils sont cultivés en haies, plantés les uns auprès des autres. Toutefois, il faut respecter un écart d’au-moins 1,5 mètres entre les plantes, puisqu’ils vont drageonner et étaler leurs branches épineuses. Les cognassiers constituent des haies très épineuses et impénétrables que les petites bêtes redoutent. Lorsqu’il est planté dans un massif, le cognassier à fleurs devrait être taillé tous les trois ans, pour éliminer les rameaux en surnombre. La taille s’effectue après la floraison au printemps. Pour les sujets palissés, la taille de toutes les pousses de l’année précédente est de mise au milieu du mois de mai. Les cognassiers sont vulnérables à la tavelure et au feu bactérien. Pour prévenir ces maladies, il faut leur appliquer un traitement à la bouillie bordelaise en automne et au printemps. Enfin, il est possible de lui associer quelques autres plantes décoratives en haies, notamment le forsytha, le berbéris, et le prunellier. D’autres arbres tout aussi épineux conviennent feront aussi l’affaire. Mais quand elle est associée à d’autres espèces épineuses, le cagnossier à fleurs ne doit pas être placé dans un endroit très fréquenté.
