Le cassissier est un arbre à fruits robuste qui peut aller jusqu’à 1,5 mètre de hauteur. Les premières plantations de cassissier datent du XVIème siècle. Il se cultive bien dans les zones tempérées. Les racines du cassissier sont fasciculées et peuvent s’enfoncer jusqu’à 20 cm à 40 cm sous la terre. Ses feuilles sont munies de pétioles et renferment 3 à 5 lobules de forme triangulaire. Ses bourgeons bicolores varient du jaune au rouge à l’intérieur et sont vertes à l’extérieur. Le cassissier forme des grappes tombantes comportant 5 à 10 fleurs. Les baies ou les fruits du cassissier sont comestibles. Ils sont circulaires et globulaires avec une circonférence moyenne de 10 à 15 mm. De coloration noire, les cassis sont des fruits acidulés. Pour avoir un rendement satisfaisant, la sélection du lieu d’implantation est importante. Le cassissier peut s’exposer favorablement à la lumière et à la chaleur.
La culture du cassissier peut se faire sur plusieurs types de sols. Toutefois, il s’adapte bien à un sol argileux humidifié, frais et bien assaini. Dans le cas d’une plantation sur une terre sablonneuse, il faut faire régulièrement une irrigation et apporter un bon paillage. Les facteurs restrictifs pour le développement des cassissiers sont la profondeur, la composition, le drainage ainsi que la capacité de rétention de substances nutritives du sol. Il faut également amender les défauts liés au terrain puisqu’une plantation de cassissier bien entretenue peut perdurer jusqu’à 20 ans d’existence. Les plants de cassissier peuvent croître dans les zones plus ou moins abritées. Seulement, la productivité du cassissier est beaucoup plus importante dans les milieux ensoleillés. Pour bien aérer la plantation du cassissier et restreindre les dégâts engendrés par les maladies cryptogamiques et le gel attardé des bourgeons printaniers, il est préférable de choisir un terrain légèrement en pente. Les bourgeons du cassissier sont aussi vulnérables face aux vents violents. Il faut de ce fait implanter une haie brise-vent pour préserver ces bourgeons si les cassissiers se trouvent dans les zones trop ventées. Il est aussi possible de cultiver des cassissiers dans de grandes vases en terre ou dans des récipients en plastiques ou des contenants en bois. Pour ce faire, il faut faire un bon drainage opérationnel au culot du contenant en usant des boules d’argile, des gravillons ou encore des morceaux de poteries. Par la suite, il faut arroser le cassissier et le rempoter tous les 3 à 4 ans au dépend de leur développement.
Il est indispensable de bien aménager le sol au moins un an avant que l’implantation n’ait lieu. Cet aménagement ou préparation du sol consiste en un amendement et un désherbage intensif de chiendents qui sont des mauvaises herbes très nuisibles au cassissier. Les racines ou rhizomes du cassissier se développent assez promptement en terre profonde et bien assainie. Il faut de ce fait labourer la terre à plus de 20 cm de profondeur. Une fois travaillée, la terre va être conservée en l’état pour mieux constituer la jachère. Généralement, cette jachère qui est un sol arable doit être préalablement fertilisée. L’utilisation d’une herse à dents durant la jachère va permettre un bon drainage et puiser les racines du cassissier. Si le sol en question présente des chiendents, il ne faut pas employer des machineries qui peuvent couper les racines et ainsi les proliférer.
La floraison du cassissier se déroule en saison printanière. Autrement dit, le cassissier bourgeonne de mars à mai. Les fleurs du cassissier sont très singulières et distinguées. Leurs coloris principaux sont en particulier le jaune-rouge et le vert. Quant aux feuilles du cassissier, elles se moissonnent juste avant la fleuraison en avril. La fructification du cassissier se fait rare sur les rameaux âgés de 3 ou 4 ans. Les cassis rassemblés en grappes se développent assez rapidement sur les rameaux vieux de 2 années. Ils deviennent mûrs au cours du mois de juin et juillet. Toutefois, il ne faut pas simplement se fier à la couleur des fruits qui passe du verte au noire durant cette période. Il faut encore attendre une quinzaine de jours avant de les récolter. Ce délai d’attente va permettre aux baies de s’adoucir et d’atteindre un certain calibre. Il faut aussi fertiliser le sol avec des engrais destinés aux arbres fruitiers afin que le cassissier se fructifie convenablement. Une culture de cassissier peut rester productive durant une vingtaine d’années. Cependant, pour garantir la pérennité de production incluant une bonne floraison et fructification, il faut envisager d’implanter un nouveau terrain 4 ans avant la détérioration du terrain existant.
La plantation du cassissier relève d’un procédé assez simple mais qui doit être appliqué scrupuleusement pour un meilleur rendement. Les cassissiers à rhizomes découverts se cultivent à partir du mois d’octobre jusqu’au mois d’avril. Ces rhizomes ou racines seront mis sous terre tout en respectant un écart de 1 à 1,5 mètre entre chaque pied. D’un côté, il faut excaver le sol pour en faire un trou profond et large de 40 à 50 centimètres. Les pierres et les rhizomes d’éventuelles mauvaises herbes doivent y être retirés. Il faut ensuite mettre dans la cavité du trou de plantage et incorporer à la terre une poignée de corne grillée avoisinant les 80 grammes. S’en suit après le bouchage du demi-trou avec de la terre, de l’humus et de l’engrais composté tel le fertilisant fumélite. D’un autre côté, il faut procéder à une découpe du bout des racines du cassissier avant de les immerger dans le pralin ou la boue spéciale pour le développement des végétaux. Le cassissier va ensuite être placé dans le trou. Le reste de terre et d’humus comblera le trou de plantage. La terre sera pressurée au pied de l’arbrisseau en érigeant une petite cuve. Il suffit d’arroser plantureusement le cassissier avec une bonne dizaine de litres d’eau pour que ses racines s’adhèrent bien à la terre. Le cassissier peut être planté en plein soleil tout comme il peut aussi s’adapter à une zone mi-ensoleillée sous peine de bénéficier un minimum d’ensoleillement journalier de 6 heures. Bref, le cassissier doit être casé dans une terre à la fois fertile et riche en matières minérales. Toutefois, il faut que cette terre soit bien drainée puisque la surabondance d’humidité n’est pas convenable à la culture du cassissier.
Il faut entretenir le cassissier tout au long de l’année pour que sa fructification soit optimale. L'entretien du cassissier est très facile. En réalité, il est inutile d’arroser la plantation de cassissier excepté durant la première année de culture. Un amendement par année suffit à garantir une bonne production de cassis. En période hivernale, il faut rabattre l'arbuste par un ébranchage à ras des vieux rameaux et un taillage des branches ardentes à environ 50 cm. Il ne faut pas faire un binage profond au cours du désherbage au pied du cassissier car ses racines sont presque apparentes. Il faut juste bêcher faiblement, ou mieux, étaler un paillage qui empêchera la prolifération des mauvaises herbes tout en préservant l’humidité de la terre. Durant le printemps, il faut retourner délicatement le sol et y enfouir un fertilisant. Entretenir un cassissier consiste aussi à assainir le sol par l’utilisation des insecticides spéciaux pour le traitement hivernal. Ces insecticides vont détruire les germes, les asticots, les pucerons ainsi que les cochenilles qui migrent sur les cassissiers en hiver.
La multiplication du cassissier se fait facilement par bouturage ligneux durant l’automne ou en saison printanière. Pour ce faire, il faut prélever des rameaux solides à partir du ras des brins âgés de 1 an. Ils sont coupés de manière à obtenir une longueur de 20 à 30 cm. Le taillage au pied de la branche doit se faire juste sous un petit bourgeon et s’inclinera à environ 1 cm sur le dessus. Les boutures doivent être correctement enfouies dans une pépinière tout en s’espaçant de 1 m les unes des autres. Le sol doit aussi être bien assaini. Il vaut mieux utiliser un paillage de feuilles mortes pour préserver les boutures du frimas d’automne et humidifier le sol même au printemps. Les boutures peuvent être replantées dans la plantation définitive après une période de développement. La croissance des cassissiers grâce aux boutures est plus qu’étonnante. En effet, ces cassissiers peuvent générer annuellement entre 4 et 6 nouvelles branches d’environ 60 cm de hauteur.
Les caractéristiques du cassissier
La culture du cassissier peut se faire sur plusieurs types de sols. Toutefois, il s’adapte bien à un sol argileux humidifié, frais et bien assaini. Dans le cas d’une plantation sur une terre sablonneuse, il faut faire régulièrement une irrigation et apporter un bon paillage. Les facteurs restrictifs pour le développement des cassissiers sont la profondeur, la composition, le drainage ainsi que la capacité de rétention de substances nutritives du sol. Il faut également amender les défauts liés au terrain puisqu’une plantation de cassissier bien entretenue peut perdurer jusqu’à 20 ans d’existence. Les plants de cassissier peuvent croître dans les zones plus ou moins abritées. Seulement, la productivité du cassissier est beaucoup plus importante dans les milieux ensoleillés. Pour bien aérer la plantation du cassissier et restreindre les dégâts engendrés par les maladies cryptogamiques et le gel attardé des bourgeons printaniers, il est préférable de choisir un terrain légèrement en pente. Les bourgeons du cassissier sont aussi vulnérables face aux vents violents. Il faut de ce fait implanter une haie brise-vent pour préserver ces bourgeons si les cassissiers se trouvent dans les zones trop ventées. Il est aussi possible de cultiver des cassissiers dans de grandes vases en terre ou dans des récipients en plastiques ou des contenants en bois. Pour ce faire, il faut faire un bon drainage opérationnel au culot du contenant en usant des boules d’argile, des gravillons ou encore des morceaux de poteries. Par la suite, il faut arroser le cassissier et le rempoter tous les 3 à 4 ans au dépend de leur développement.
La préparation du sol pour la culture du cassissier
Il est indispensable de bien aménager le sol au moins un an avant que l’implantation n’ait lieu. Cet aménagement ou préparation du sol consiste en un amendement et un désherbage intensif de chiendents qui sont des mauvaises herbes très nuisibles au cassissier. Les racines ou rhizomes du cassissier se développent assez promptement en terre profonde et bien assainie. Il faut de ce fait labourer la terre à plus de 20 cm de profondeur. Une fois travaillée, la terre va être conservée en l’état pour mieux constituer la jachère. Généralement, cette jachère qui est un sol arable doit être préalablement fertilisée. L’utilisation d’une herse à dents durant la jachère va permettre un bon drainage et puiser les racines du cassissier. Si le sol en question présente des chiendents, il ne faut pas employer des machineries qui peuvent couper les racines et ainsi les proliférer.
La floraison et la fructification du cassissier
La floraison du cassissier se déroule en saison printanière. Autrement dit, le cassissier bourgeonne de mars à mai. Les fleurs du cassissier sont très singulières et distinguées. Leurs coloris principaux sont en particulier le jaune-rouge et le vert. Quant aux feuilles du cassissier, elles se moissonnent juste avant la fleuraison en avril. La fructification du cassissier se fait rare sur les rameaux âgés de 3 ou 4 ans. Les cassis rassemblés en grappes se développent assez rapidement sur les rameaux vieux de 2 années. Ils deviennent mûrs au cours du mois de juin et juillet. Toutefois, il ne faut pas simplement se fier à la couleur des fruits qui passe du verte au noire durant cette période. Il faut encore attendre une quinzaine de jours avant de les récolter. Ce délai d’attente va permettre aux baies de s’adoucir et d’atteindre un certain calibre. Il faut aussi fertiliser le sol avec des engrais destinés aux arbres fruitiers afin que le cassissier se fructifie convenablement. Une culture de cassissier peut rester productive durant une vingtaine d’années. Cependant, pour garantir la pérennité de production incluant une bonne floraison et fructification, il faut envisager d’implanter un nouveau terrain 4 ans avant la détérioration du terrain existant.
La plantation du cassissier
La plantation du cassissier relève d’un procédé assez simple mais qui doit être appliqué scrupuleusement pour un meilleur rendement. Les cassissiers à rhizomes découverts se cultivent à partir du mois d’octobre jusqu’au mois d’avril. Ces rhizomes ou racines seront mis sous terre tout en respectant un écart de 1 à 1,5 mètre entre chaque pied. D’un côté, il faut excaver le sol pour en faire un trou profond et large de 40 à 50 centimètres. Les pierres et les rhizomes d’éventuelles mauvaises herbes doivent y être retirés. Il faut ensuite mettre dans la cavité du trou de plantage et incorporer à la terre une poignée de corne grillée avoisinant les 80 grammes. S’en suit après le bouchage du demi-trou avec de la terre, de l’humus et de l’engrais composté tel le fertilisant fumélite. D’un autre côté, il faut procéder à une découpe du bout des racines du cassissier avant de les immerger dans le pralin ou la boue spéciale pour le développement des végétaux. Le cassissier va ensuite être placé dans le trou. Le reste de terre et d’humus comblera le trou de plantage. La terre sera pressurée au pied de l’arbrisseau en érigeant une petite cuve. Il suffit d’arroser plantureusement le cassissier avec une bonne dizaine de litres d’eau pour que ses racines s’adhèrent bien à la terre. Le cassissier peut être planté en plein soleil tout comme il peut aussi s’adapter à une zone mi-ensoleillée sous peine de bénéficier un minimum d’ensoleillement journalier de 6 heures. Bref, le cassissier doit être casé dans une terre à la fois fertile et riche en matières minérales. Toutefois, il faut que cette terre soit bien drainée puisque la surabondance d’humidité n’est pas convenable à la culture du cassissier.
L’entretien du cassissier
Il faut entretenir le cassissier tout au long de l’année pour que sa fructification soit optimale. L'entretien du cassissier est très facile. En réalité, il est inutile d’arroser la plantation de cassissier excepté durant la première année de culture. Un amendement par année suffit à garantir une bonne production de cassis. En période hivernale, il faut rabattre l'arbuste par un ébranchage à ras des vieux rameaux et un taillage des branches ardentes à environ 50 cm. Il ne faut pas faire un binage profond au cours du désherbage au pied du cassissier car ses racines sont presque apparentes. Il faut juste bêcher faiblement, ou mieux, étaler un paillage qui empêchera la prolifération des mauvaises herbes tout en préservant l’humidité de la terre. Durant le printemps, il faut retourner délicatement le sol et y enfouir un fertilisant. Entretenir un cassissier consiste aussi à assainir le sol par l’utilisation des insecticides spéciaux pour le traitement hivernal. Ces insecticides vont détruire les germes, les asticots, les pucerons ainsi que les cochenilles qui migrent sur les cassissiers en hiver.
La multiplication du cassissier
La multiplication du cassissier se fait facilement par bouturage ligneux durant l’automne ou en saison printanière. Pour ce faire, il faut prélever des rameaux solides à partir du ras des brins âgés de 1 an. Ils sont coupés de manière à obtenir une longueur de 20 à 30 cm. Le taillage au pied de la branche doit se faire juste sous un petit bourgeon et s’inclinera à environ 1 cm sur le dessus. Les boutures doivent être correctement enfouies dans une pépinière tout en s’espaçant de 1 m les unes des autres. Le sol doit aussi être bien assaini. Il vaut mieux utiliser un paillage de feuilles mortes pour préserver les boutures du frimas d’automne et humidifier le sol même au printemps. Les boutures peuvent être replantées dans la plantation définitive après une période de développement. La croissance des cassissiers grâce aux boutures est plus qu’étonnante. En effet, ces cassissiers peuvent générer annuellement entre 4 et 6 nouvelles branches d’environ 60 cm de hauteur.
